Les « vapoteurs » ont jusqu’au 30 septembre pour s’adonner à leur activité favorite. À partir du 1er octobre, il sera interdit de vapoter au bureau, dans les transports collectifs, ainsi que dans les établissements scolaires ainsi que ceux destinés à l’accueil et l’hébergement des mineurs. Autant dire qu’il ne restera plus guère que la rue, à domicile et éventuellement dans les bars qu’il restera possible de vapoter — le texte ne concerne pas en effet les cafés, les hôtels ou encore les restaurants.
Cette interdiction ne fait pas l’unanimité. Les études sur les cigarettes électroniques ne concluent pas toutes de la même façon ; certains médecins estiment même que l’e-cigarette a des effets bénéfiques pour sevrer les fumeurs. Mais la disposition qui entrera en vigueur le 1er octobre est inscrite dans la loi de modernisation du système de santé, votée l’an dernier.
Le texte paru au Journal officiel dresse plusieurs sanctions. L’amende en cas d’infraction dans un lieu fermé s’établit à 150 euros (une contravention de deuxième classe). Si le professionnel ne signale pas l’interdiction de vapotage, l’amende (de troisième classe) est alors fixée à 450 euros. De quoi refroidir bien des ardeurs.
Cette interdiction ne fait pas l’unanimité. Les études sur les cigarettes électroniques ne concluent pas toutes de la même façon ; certains médecins estiment même que l’e-cigarette a des effets bénéfiques pour sevrer les fumeurs. Mais la disposition qui entrera en vigueur le 1er octobre est inscrite dans la loi de modernisation du système de santé, votée l’an dernier.
Le texte paru au Journal officiel dresse plusieurs sanctions. L’amende en cas d’infraction dans un lieu fermé s’établit à 150 euros (une contravention de deuxième classe). Si le professionnel ne signale pas l’interdiction de vapotage, l’amende (de troisième classe) est alors fixée à 450 euros. De quoi refroidir bien des ardeurs.