Ce nouveau répit a été décidé durant la réunion de politique monétaire de l'institution de Francfort. Dans le détail, la BCE ne change rien à ses taux directeurs ; le taux de dépôt reste cramponné à -0,4%, le taux de facilité de crédit est à 0,25%, quant au taux de refinancement, il est toujours nul. Une situation qui va permettre à l'inflation de continuer à reprendre du poil de la bête, ce qui est le cas depuis plusieurs mois maintenant mais pas au point d'atteindre les 2% qui sont l'objectif de la Banque centrale.
En ce qui concerne le programme de rachat d'actifs, l'autre initiative menée par la Banque centrale européenne pour stimuler l'activité économique et donc la hausse des prix, les choses changent par contre. La BCE divise par deux les fonds alloués à l'achat d'actifs : ils seront de 30 milliards d'euros à compter de janvier prochain. L'institution monétaire a aussi indiqué que le programme allait se poursuivre pour encore neuf mois. Ces mesures ont visiblement ravi les marchés.
Le CAC40 a ainsi progressé de 1,5% ce jeudi 26 octobre, atteignant son plus haut niveau de l'année avec 5 455,40 points. L'euro baisse logiquement face au dollar, de 0,9% à 1,1712 $. La politique très accommodante de la Banque centrale européenne tranche avec la stratégie de la Réserve fédérale américaine, qui a commencé à relever ses taux, normalisant ainsi une situation issue de la crise financière de 2008.
En ce qui concerne le programme de rachat d'actifs, l'autre initiative menée par la Banque centrale européenne pour stimuler l'activité économique et donc la hausse des prix, les choses changent par contre. La BCE divise par deux les fonds alloués à l'achat d'actifs : ils seront de 30 milliards d'euros à compter de janvier prochain. L'institution monétaire a aussi indiqué que le programme allait se poursuivre pour encore neuf mois. Ces mesures ont visiblement ravi les marchés.
Le CAC40 a ainsi progressé de 1,5% ce jeudi 26 octobre, atteignant son plus haut niveau de l'année avec 5 455,40 points. L'euro baisse logiquement face au dollar, de 0,9% à 1,1712 $. La politique très accommodante de la Banque centrale européenne tranche avec la stratégie de la Réserve fédérale américaine, qui a commencé à relever ses taux, normalisant ainsi une situation issue de la crise financière de 2008.