La plupart des analystes et des économistes s'attendaient à une baisse du taux d'intérêt, qui se maintient finalement à 0,50%. Une décision surprenante, alors que l'économie du Royaume-Uni souffre de plus en plus du Brexit, et que la livre sterling est chahutée. Mark Carney, le gouverneur de la Banque d'Angleterre, avait même pris les devants en annonçant en juin qu'un « assouplissement monétaire » allait être nécessaire dès cet été.
La Banque d'Angleterre se disait prête à prendre toutes les actions nécessaires pour « soutenir la croissance » et faire en sorte que l'inflation ne sorte pas de la zone des 2%. Mais rien n'est venu, du moins pas encore. Car d'après les minutes de la réunion de ce 13 juillet, le taux d'intérêt devrait bel et bien baisser en août.
La Banque d'Angleterre se réjouit par ailleurs que les résultats du référendum n'aient pas entravé le fonctionnement des marchés, et que le système financier du Royaume-Uni avait finalement bien résisté. Tout cela a permis de « limiter plutôt que d'amplifier l'impact » du référendum. Il y a toutefois des signes que le moral des ménages et des entreprises ait été affecté par le Brexit.
La Banque d'Angleterre se disait prête à prendre toutes les actions nécessaires pour « soutenir la croissance » et faire en sorte que l'inflation ne sorte pas de la zone des 2%. Mais rien n'est venu, du moins pas encore. Car d'après les minutes de la réunion de ce 13 juillet, le taux d'intérêt devrait bel et bien baisser en août.
La Banque d'Angleterre se réjouit par ailleurs que les résultats du référendum n'aient pas entravé le fonctionnement des marchés, et que le système financier du Royaume-Uni avait finalement bien résisté. Tout cela a permis de « limiter plutôt que d'amplifier l'impact » du référendum. Il y a toutefois des signes que le moral des ménages et des entreprises ait été affecté par le Brexit.