Dans ces zones très visitées par les touristes, les enseignes peuvent ouvrir 52 dimanches par an. Une aubaine pour le chiffre d'affaires, mais il faut encore — et c'est heureux — obtenir l'assentiment des employés. Les syndicats font de la résistance, comme c'est le cas à la Fnac, où la CGT campe sur une position très dure : pas question de travail dominical. Or, la CGT est le syndicat majoritaire au sein de l'enseigne culturelle.
Pourtant, les propositions de la direction de la Fnac ne manquent pas d'intérêt. L'entreprise propose en effet de tripler les salaires des employés qui accepteront de travailler le dimanche, uniquement durant les dimanches les plus performants de l'année, toutefois. Les autres dimanches seront payés double. C'est en France la plus généreuse des propositions jamais faites : les grands magasins parisiens et Darty proposent un doublement des salaires quel que soit la nature du dimanche travaillé.
La Fnac propose aussi des frais de garde pour les enfants de moins de 12 ans. La CFDT salue un progrès « très net » de ces propositions, qui s'approchent toutefois du seuil au delà duquel le travail dominical n'est plus rentable.
Pourtant, les propositions de la direction de la Fnac ne manquent pas d'intérêt. L'entreprise propose en effet de tripler les salaires des employés qui accepteront de travailler le dimanche, uniquement durant les dimanches les plus performants de l'année, toutefois. Les autres dimanches seront payés double. C'est en France la plus généreuse des propositions jamais faites : les grands magasins parisiens et Darty proposent un doublement des salaires quel que soit la nature du dimanche travaillé.
La Fnac propose aussi des frais de garde pour les enfants de moins de 12 ans. La CFDT salue un progrès « très net » de ces propositions, qui s'approchent toutefois du seuil au delà duquel le travail dominical n'est plus rentable.