Alors que le monde bat au rythme de la COP21, Paris a décidé d'augmenter son aide à l'Afrique dans le cadre de la lutte contre les changements climatiques. Ainsi, ce sont plus de 2 milliards d'euros qui seront injectés dans des programmes portés par les gouvernements des pays concernés, des organisations de la société civile, ou encore les collectivités territoriales.
« Cet effort représentera une hausse de 50% des engagements bilatéraux français par rapport aux 5 dernières années », explique l'Élysée dans son communiqué. Il s'agit d'aider au financement des énergies renouvelables de toutes sortes : dans le solaire, l'éolien, l'hydroélectricité, ou encore la géothermie.
La France va également « tripler progressivement ses engagements bilatéraux en Afrique, pour atteindre 1 milliard d'euros par an en 2020 ». L'objectif ici est de combattre la désertification et aider au financement du reboisement et de l'électrification de « poches » vertes au Sahel et dans le Sahara. Ce projet qui, à la base s'appelait Muraille verte, est porté par la FAO et touche plus de 20 pays africains.
« Cet effort représentera une hausse de 50% des engagements bilatéraux français par rapport aux 5 dernières années », explique l'Élysée dans son communiqué. Il s'agit d'aider au financement des énergies renouvelables de toutes sortes : dans le solaire, l'éolien, l'hydroélectricité, ou encore la géothermie.
La France va également « tripler progressivement ses engagements bilatéraux en Afrique, pour atteindre 1 milliard d'euros par an en 2020 ». L'objectif ici est de combattre la désertification et aider au financement du reboisement et de l'électrification de « poches » vertes au Sahel et dans le Sahara. Ce projet qui, à la base s'appelait Muraille verte, est porté par la FAO et touche plus de 20 pays africains.