C'est l'épreuve du feu pour Theresa May, nommée au 10, Downing Street après la démission de David Cameron. C'est une des nombreuses conséquences du Brexit, et c'est désormais elle qui doit en porter le poids sur les épaules. En partance pour le G20 de Hangzhou, en Chine, elle a esquissé un argumentaire à destination des chefs d'État et de gouvernement.
Theresa May veut faire de la Grande-Bretagne un "leader mondial du libre échange". Le pays est "ouvert pour les affaires" ("open for business"), comme il l'a toujours été, mais encore plus depuis le résultat du référendum. "Je parlerai aux autres dirigeants internationaux des opportunités commerciales qui s'ouvriront à travers le monde entier pour le Royaume-Uni après le Brexit", a-t-elle ajouté.
La première étape sera d'amplifier les liens entre la Grande-Bretagne et la Chine, ce que May s'évertuera à faire en rencontrant le président chinois Xi. La Première ministre veut rien de moins que de mettre sur pied un "âge d'or dans les relations sino-britanniques".
Theresa May veut faire de la Grande-Bretagne un "leader mondial du libre échange". Le pays est "ouvert pour les affaires" ("open for business"), comme il l'a toujours été, mais encore plus depuis le résultat du référendum. "Je parlerai aux autres dirigeants internationaux des opportunités commerciales qui s'ouvriront à travers le monde entier pour le Royaume-Uni après le Brexit", a-t-elle ajouté.
La première étape sera d'amplifier les liens entre la Grande-Bretagne et la Chine, ce que May s'évertuera à faire en rencontrant le président chinois Xi. La Première ministre veut rien de moins que de mettre sur pied un "âge d'or dans les relations sino-britanniques".