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Après plusieurs semaines de controverses et de négociations, la Grèce a finalement pu régler cette créance auprès du Fonds monétaire international. Athènes peut désormais accéder de nouveaux aux possibilités de prêts offerts par le FMI. Ce remboursement était la condition sine qua non au versement de la dernière tranche d’aide de 7,2 milliards d’euros que l’institution avait promis au pays… s’il remboursait la fameuse créance.
Le 13 juillet, la Grèce faisait de nouveau défaut, cette fois de 456 millions. En plus du remboursement au FMI, le pays a signé un chèque de 4,2 milliards à la Banque centrale européenne ce lundi 20 juillet. Si le gouvernement grec a pu honorer ces remboursements, c’est grâce à… un nouveau prêt, accordé en urgence par les institutions européennes, qui se monte à 7,16 milliards d’euros. Autant dire qu’il ne reste plus rien de cette somme.
En échange de cette aide — et du reste des 80 milliards prévus dans le plan — la Grèce a accepté des mesures drastiques restreignant sa souveraineté et imposant, de fait, une tutelle européenne sur les décisions économiques du pays.
Le 13 juillet, la Grèce faisait de nouveau défaut, cette fois de 456 millions. En plus du remboursement au FMI, le pays a signé un chèque de 4,2 milliards à la Banque centrale européenne ce lundi 20 juillet. Si le gouvernement grec a pu honorer ces remboursements, c’est grâce à… un nouveau prêt, accordé en urgence par les institutions européennes, qui se monte à 7,16 milliards d’euros. Autant dire qu’il ne reste plus rien de cette somme.
En échange de cette aide — et du reste des 80 milliards prévus dans le plan — la Grèce a accepté des mesures drastiques restreignant sa souveraineté et imposant, de fait, une tutelle européenne sur les décisions économiques du pays.