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C’est lors des « entretiens de printemps », en fin de semaine dernière, que le FMI, la BCE et le Trésor américain ont pu marteler, devant Yanis Varoufakis, le ministre des Finances grec, que le pays allait au devant de graves problèmes s’il ne remplissait pas ses engagements internationaux. Christine Lagarde a ainsi affirmé que la Grèce allait devoir rembourser un milliard d’euros en mai et qu’il n’était pas question d’un délai supplémentaire : « Le FMI n’en a jamais accordé depuis trente ans ».
Même discours de fermeté du côté de Mario Draghi qui ne veut pas entendre parler de « Grexit », cette sortie de la Grèce de la zone euro, une menace qui plane de plus en plus depuis l’arrivée au pouvoir de la nouvelle équipe en Grèce issue de la gauche radicale. Si jamais cela arriverait, cela signifierait un défaut de paiement du pays et la zone euro pourrait s’asseoir sur 110 milliards d’euros ; mais les conséquences seraient certainement plus dramatiques pour la Grèce que pour l’Europe, qui s’est dotée depuis le début de la crise d’outils financiers pour tenir un tel choc.
Quoi qu’il en soit, la Grèce est une fois de plus au pied du mur, avec des créanciers qui réclament les remboursements qui leur sont dus. Athènes aura-t-elle les finances nécessaires pour faire face à ses obligations ?
Même discours de fermeté du côté de Mario Draghi qui ne veut pas entendre parler de « Grexit », cette sortie de la Grèce de la zone euro, une menace qui plane de plus en plus depuis l’arrivée au pouvoir de la nouvelle équipe en Grèce issue de la gauche radicale. Si jamais cela arriverait, cela signifierait un défaut de paiement du pays et la zone euro pourrait s’asseoir sur 110 milliards d’euros ; mais les conséquences seraient certainement plus dramatiques pour la Grèce que pour l’Europe, qui s’est dotée depuis le début de la crise d’outils financiers pour tenir un tel choc.
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