Un des premiers grands patrons à avoir réagi est Sundar Pichai, CEO de Google. Ce dernier a demandé aux employés concernés par l'interdiction de venue sur le territoire américain de revenir le plus rapidement possible aux États-Unis, s'ils sont en déplacement à l'étranger. Cela représente une centaine d'ingénieurs, indispensables au bon fonctionnement de l'entreprise.
Google n'est pas la seule entreprise à s'être lancée dans cette bataille. Microsoft, Amazon, Uber et d'autres encore ont, à des degrés divers, regretté la signature de ce décret. Pour Tim Cook, le patron d'Apple, la politique de Donald Trump n'est pas compatible avec les valeurs du créateur de l'iPhone.
Au delà des conséquences directes de ce décret (et elles peuvent être dévastatrices pour les familles touchées), ce texte dégrade aussi fortement l'attractivité de l'économie américaine. Les grandes entreprises de la Silicon Valley, tout comme les petites start-ups, se nourrissent de l'expérience et du savoir-faire des migrants. Apple a été fondée par Steve Jobs, fils d'un immigrant syrien…
Google n'est pas la seule entreprise à s'être lancée dans cette bataille. Microsoft, Amazon, Uber et d'autres encore ont, à des degrés divers, regretté la signature de ce décret. Pour Tim Cook, le patron d'Apple, la politique de Donald Trump n'est pas compatible avec les valeurs du créateur de l'iPhone.
Au delà des conséquences directes de ce décret (et elles peuvent être dévastatrices pour les familles touchées), ce texte dégrade aussi fortement l'attractivité de l'économie américaine. Les grandes entreprises de la Silicon Valley, tout comme les petites start-ups, se nourrissent de l'expérience et du savoir-faire des migrants. Apple a été fondée par Steve Jobs, fils d'un immigrant syrien…