La braderie de Lille, ce sont plus de deux millions de visiteurs, une centaine de kilomètres d’étals, 10 000 exposants, le tout dans un milieu très urbain. Des conditions qui auraient pu inspirer des terroristes, ce dont n’a pas voulu la mairie de Lille. « Il y a des risques que nous n'arrivons pas à réduire. C'est une décision douloureuse », a expliqué Martine Aubry, la maire.
L’édile rapporte une atmosphère « d’angoisse et de peur » autour de l’événement, en citant la baisse des réservations de chambres d’hôtels et les transports. Le risque a finalement été jugé trop important par les autorités, qui avaient déjà pris des mesures pour éviter le pire (à l’instar de l’interdiction des bonbonnes de gaz sur les lieux).
« Faire la braderie avec des tireurs d'élite sur tous les toits, des CRS à chaque coin de rue, des hélicoptères et des drones qui tournent partout, pour moi, ce n'est pas l'esprit de la braderie », a aussi indiqué la maire. Du côté des professionnels, c’est évidemment la déception qui prédomine. L’UMIH (Union des métiers et industries de l'hôtellerie) déplore une décision « brutale » et « incompréhensible ».
L’édile rapporte une atmosphère « d’angoisse et de peur » autour de l’événement, en citant la baisse des réservations de chambres d’hôtels et les transports. Le risque a finalement été jugé trop important par les autorités, qui avaient déjà pris des mesures pour éviter le pire (à l’instar de l’interdiction des bonbonnes de gaz sur les lieux).
« Faire la braderie avec des tireurs d'élite sur tous les toits, des CRS à chaque coin de rue, des hélicoptères et des drones qui tournent partout, pour moi, ce n'est pas l'esprit de la braderie », a aussi indiqué la maire. Du côté des professionnels, c’est évidemment la déception qui prédomine. L’UMIH (Union des métiers et industries de l'hôtellerie) déplore une décision « brutale » et « incompréhensible ».