D’ores et déjà, l’objectif des 1% annuels tel que prévu par Bercy pointe déjà à l’horizon, alors que la Banque de France prévoit de son côté une croissance de 0,3% au second trimestre. La reprise qui souffle sur toute l’Europe et sur la France depuis le début de l’année s’incarne au travers d’une hausse de la consommation des ménages et des investissements des entreprises.
La baisse du prix du baril entraine mécaniquement une hausse du pouvoir d’achat des ménages et donne de l’air aux trésoreries des entreprises. Conjugué à un taux de change entre l’euro et le dollar plus réaliste, ces deux facteurs (ainsi que les assouplissements permis par les différentes mesures de l’exécutif, ce que ne manquera pas de mettre en avant le gouvernement) permettent un redécollage de l’économie tricolore plus fort que prévu.
Tout cela est de bon augure dans les relations toujours un peu difficiles entre Paris et Bruxelles. Mais en annonçant un déficit du PIB de 4% en 2014, un taux meilleur que prévu, la France s’est aménagé une relative paix des ménages avec l’Europe… même si Bruxelles ne compte pas relâcher la pression en exigeant la mise en place de nouvelles réformes d’assainissement des comptes publics.
La baisse du prix du baril entraine mécaniquement une hausse du pouvoir d’achat des ménages et donne de l’air aux trésoreries des entreprises. Conjugué à un taux de change entre l’euro et le dollar plus réaliste, ces deux facteurs (ainsi que les assouplissements permis par les différentes mesures de l’exécutif, ce que ne manquera pas de mettre en avant le gouvernement) permettent un redécollage de l’économie tricolore plus fort que prévu.
Tout cela est de bon augure dans les relations toujours un peu difficiles entre Paris et Bruxelles. Mais en annonçant un déficit du PIB de 4% en 2014, un taux meilleur que prévu, la France s’est aménagé une relative paix des ménages avec l’Europe… même si Bruxelles ne compte pas relâcher la pression en exigeant la mise en place de nouvelles réformes d’assainissement des comptes publics.