Une prévision de croissance à 2,6% en 2022
La croissance de la France au troisième trimestre sera un peu moins forte qu'espéré. La Banque de France prévoit en effet une progression du produit intérieur brut de 0,25%, c'est légèrement moins que prévu en septembre (0,3%). Néanmoins, la situation n'est pas désespérée, loin de là. L'institution va même jusqu'à parler de « bonne résilience de l'activité ». À tel point que la croissance sur l'année devrait être de 2,6%.
En septembre, la croissance enregistrée a été stable par rapport au mois d'août, même si le secteur de la construction a connu une hausse plus importante que dans l'industrie et les services. « Sur le trimestre qui vient de s'achever en septembre, l'activité aurait plutôt bien résisté, portée par le dynamisme de certains services marchands, mais aussi par une hausse de la valeur ajoutée dans l'industrie pendant l'été », précise le rapport de la Banque de France.
En septembre, la croissance enregistrée a été stable par rapport au mois d'août, même si le secteur de la construction a connu une hausse plus importante que dans l'industrie et les services. « Sur le trimestre qui vient de s'achever en septembre, l'activité aurait plutôt bien résisté, portée par le dynamisme de certains services marchands, mais aussi par une hausse de la valeur ajoutée dans l'industrie pendant l'été », précise le rapport de la Banque de France.
Les prix ont augmenté après l'été
Pour le mois d'octobre, les entreprises anticipent une faible évolution de leur activité. Elle resterait stable dans l'industrie et dans le bâtiment, en revanche, elle augmenterait de nouveau dans les services marchands. Pas de quoi relancer fortement la machine cependant, puisque cette augmentation se montrerait « plus légère » que les mois précédents.
Les industries manufacturières ont relevé le prix de leurs produits finis après l'été : « 29% des chefs d'entreprise dans l'industrie manufacturière déclarent avoir augmenté leur prix de vente en septembre ». Et la crise énergétique s'étend désormais « à tous les secteurs », relève la Banque de France. Les difficultés d'approvisionnement s'éloignent de leur pic du mois d'avril, mais elles demeurent importantes.
Les industries manufacturières ont relevé le prix de leurs produits finis après l'été : « 29% des chefs d'entreprise dans l'industrie manufacturière déclarent avoir augmenté leur prix de vente en septembre ». Et la crise énergétique s'étend désormais « à tous les secteurs », relève la Banque de France. Les difficultés d'approvisionnement s'éloignent de leur pic du mois d'avril, mais elles demeurent importantes.