La mobilisation contre le projet de réforme du gouvernement a débuté début avril et elle pourrait se terminer fin juin. Parti avec un taux de grévistes de plus de 30%, le mouvement s'est réduit de moitié mais le trafic n'en demeure pas moins difficile : les conducteurs sont les personnels les plus investis, avec un taux de grévistes qui dépasse les 50% depuis le début de cette grève perlée. Et ce sera une fois encore le cas, avec la moitié des TGV et des Transiliens en circulation pour ce dimanche, deux TER sur cinq, un Intercité sur trois.
En Ile-de-France, il faudra compter sur une moyenne d'un RER A et B sur deux, un train sur trois pour les RER C, D et E. Enfin, à l'international, tous les Eurostar et quasiment tous les Thalys seront au rendez-vous. C'est lundi que la mobilisation sera particulièrement surveillée, les syndicats organisant une « journée sans cheminots ». La SNCF prévient d'ores et déjà que les usagers des RER C et D devront trouver un mode de transport alternatifs.
Ce lundi 14 mai marque aussi le lancement de la consultation des cheminots organisée par les syndicats. Un « vot'action » pour déterminer le niveau de soutien ou de rejet de la réforme du ferroviaire par les cheminots… Du côté des discussions, la CFDT et l'Unsa ont rencontré Elisabeth Borne ce vendredi, mais la CGT et SUD-Rail ont refusé l'invitation. Les principes de la réforme votés par l'Assemblée nationale resteront en place, mais « il reste un certain nombre de champs à compléter ou à préciser sur le texte de loi lui-même », a expliqué la ministre des Transports.
En Ile-de-France, il faudra compter sur une moyenne d'un RER A et B sur deux, un train sur trois pour les RER C, D et E. Enfin, à l'international, tous les Eurostar et quasiment tous les Thalys seront au rendez-vous. C'est lundi que la mobilisation sera particulièrement surveillée, les syndicats organisant une « journée sans cheminots ». La SNCF prévient d'ores et déjà que les usagers des RER C et D devront trouver un mode de transport alternatifs.
Ce lundi 14 mai marque aussi le lancement de la consultation des cheminots organisée par les syndicats. Un « vot'action » pour déterminer le niveau de soutien ou de rejet de la réforme du ferroviaire par les cheminots… Du côté des discussions, la CFDT et l'Unsa ont rencontré Elisabeth Borne ce vendredi, mais la CGT et SUD-Rail ont refusé l'invitation. Les principes de la réforme votés par l'Assemblée nationale resteront en place, mais « il reste un certain nombre de champs à compléter ou à préciser sur le texte de loi lui-même », a expliqué la ministre des Transports.
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