Si le Crédit Agricole avait déçu plaider coupable devant la justice américaine, la banque aurait alors pu être frappée par des sanctions pénales. Autant s'éviter ce psychodrame de nature à enchérir une facture déjà conséquence : l'accord va en effet coûter 787,3 millions de dollars au Crédit Agricole.
Une somme rondelette, mais l'établissement financier avait provisionné plus du double (1,6 milliard), justement dans l'optique d'éponger cette dette. De plus, le Crédit Agricole s'en sort finalement plutôt bien quand on compare sa situation avec les ennuis rencontrés par BNP Paribas qui avait écopé l'an dernier de 9 milliards de dollars d'amende pour des motifs similaires. Et cela n'avait pas suffi à lui épargner l'humiliation d'un plaider coupable de délit pénal devant la justice US…
D'autres banques sont toujours dans le collimateur dans ce même dossier des infractions aux embargos américains : la Société Générale, UniCredit et Deutsche Bank négocient également avec le Département de la Justice fédéral afin de mettre un terme aux poursuites et surtout, s'éviter des complications futures : image de marque dégradée et surveillance par les autorités.
Une somme rondelette, mais l'établissement financier avait provisionné plus du double (1,6 milliard), justement dans l'optique d'éponger cette dette. De plus, le Crédit Agricole s'en sort finalement plutôt bien quand on compare sa situation avec les ennuis rencontrés par BNP Paribas qui avait écopé l'an dernier de 9 milliards de dollars d'amende pour des motifs similaires. Et cela n'avait pas suffi à lui épargner l'humiliation d'un plaider coupable de délit pénal devant la justice US…
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