Au total, selon les derniers calculs, les actifs détenus par le pays, les institutions et les privés à l’étranger valent 325 000 milliards de yens en augmentation de près de 9,7%. L’augmentation de la valeur est toutefois essentiellement issue de la dévaluation du Yen par rapport à l’euro (-28%) et au dollar (-22%), résultat des réformes économiques voulues par Shinzo Abe, premier ministre du pays du Soleil Levant.
Cette hausse de la valeur permet au Japon de rester à la première place des créanciers devant la Chine (207 600 milliards de Yens de créances) et l’Allemagne (192 200 milliards de Yens) mais la Chine continue de gagner du terrain. Dans les années à venir l’Empire du Milieu pourrait bien dépasser son voisin.
Car la Chine a un avantage considérable sur le Japon : alors que ce dernier est également le pays développé avec le plus haut taux de dette par rapport à son PIB, la Chine continue d’avoir une croissance hors norme.
Shinzo Abe, conscient de l’importance de ces créances, tente d’améliorer les retours de ces actifs mais avec un succès mitigé. Alors qu’en 2008 le pays avait gagné 3,1% sur ses actifs, en 2013 le retour n’a été que de 2,1%.
Cette hausse de la valeur permet au Japon de rester à la première place des créanciers devant la Chine (207 600 milliards de Yens de créances) et l’Allemagne (192 200 milliards de Yens) mais la Chine continue de gagner du terrain. Dans les années à venir l’Empire du Milieu pourrait bien dépasser son voisin.
Car la Chine a un avantage considérable sur le Japon : alors que ce dernier est également le pays développé avec le plus haut taux de dette par rapport à son PIB, la Chine continue d’avoir une croissance hors norme.
Shinzo Abe, conscient de l’importance de ces créances, tente d’améliorer les retours de ces actifs mais avec un succès mitigé. Alors qu’en 2008 le pays avait gagné 3,1% sur ses actifs, en 2013 le retour n’a été que de 2,1%.