© Shutterstock/EconomieMatin
Il s’agit ici d’un mariage entre groupes de même taille. Le LSE opère la Bourse de Londres et de Milan, entre autres, tandis que Deutsche Börse gère la place de Francfort, Clearstream, et d’autres entreprises encore. Ensemble, ces deux sociétés seraient de taille pour concurrencer les places financières aux États-Unis, mais aussi et surtout en Asie où les Bourses prennent de plus en plus de poids — malgré le ralentissement chinois.
C’est le LSE qui a confirmé la tentative d’approche des deux groupes, mais Londres prévient que les discussions n’en sont qu’au commencement. Sur la table des négociations, la possibilité d’une fusion réalisée intégralement en échange d’actions, l’idée étant de créer une holding. Dans la nouvelle entité, les actionnaires de Deutsche Börse détiendrait la majorité avec 54,4% du capital. LSE possèderait le reste, c’est à dire 45,6%.
Cette tentative de rapprochement entre LSE et Deutsche Börse n’est pas une première. Mais les précédents mouvements se sont soldés par des échecs. Il est probable que devant les défis qui attendent les places financières européennes, cette fusion soit cette fois vouée à réussir.
C’est le LSE qui a confirmé la tentative d’approche des deux groupes, mais Londres prévient que les discussions n’en sont qu’au commencement. Sur la table des négociations, la possibilité d’une fusion réalisée intégralement en échange d’actions, l’idée étant de créer une holding. Dans la nouvelle entité, les actionnaires de Deutsche Börse détiendrait la majorité avec 54,4% du capital. LSE possèderait le reste, c’est à dire 45,6%.
Cette tentative de rapprochement entre LSE et Deutsche Börse n’est pas une première. Mais les précédents mouvements se sont soldés par des échecs. Il est probable que devant les défis qui attendent les places financières européennes, cette fusion soit cette fois vouée à réussir.
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