Lorsqu'il a pris la direction du groupe en 2012, Kazuo Hirai (appelé Kaz par ses équipes) a trouvé une société mal en point. Celui qui est entré chez Sony en 1984 au sein de la filiale musique du groupe a dû procéder à une restructuration intense de l'entreprise, supprimant des postes et des activités (cession de la division d'ordinateurs VAIO, des batteries lithium-ion…). Sans oublier un resserrement des gammes de produits en tendant toujours plus vers le haut de gamme.
Kazuo Hirai a beaucoup misé sur la marque phare du groupe, PlayStation, tout en poursuivant les activité dans le domaine de la musique, du cinéma, ainsi que dans les capteurs photo qui sont aujourd'hui largement utilisés par de nombreux constructeurs de smartphones — à commencer par Apple. Cette restructuration s'est faite dans la douleur, mais elle a fini par payer puisque les profits de Sony ont été multiplié par dix durant la période d'avril à décembre, et un chiffre d'affaires en hausse de 15,7%. Durant l'exercice 2017, Sony devrait engranger près de 65 milliards d'euros de revenus.
Celui qui reste PDG jusqu'au 1er avril conserve une place au sein du conseil d'administration en tant que président. Il gardera un œil sur l'entreprise et son fonctionnement. Il se réjouit d'entendre de plus en plus de gens dire que « Sony est de retour ». À son arrivée, ce n'était pas si évident. Les milieux financiers saluent en tout cas son départ : la mission a visiblement été accomplie.
Kazuo Hirai a beaucoup misé sur la marque phare du groupe, PlayStation, tout en poursuivant les activité dans le domaine de la musique, du cinéma, ainsi que dans les capteurs photo qui sont aujourd'hui largement utilisés par de nombreux constructeurs de smartphones — à commencer par Apple. Cette restructuration s'est faite dans la douleur, mais elle a fini par payer puisque les profits de Sony ont été multiplié par dix durant la période d'avril à décembre, et un chiffre d'affaires en hausse de 15,7%. Durant l'exercice 2017, Sony devrait engranger près de 65 milliards d'euros de revenus.
Celui qui reste PDG jusqu'au 1er avril conserve une place au sein du conseil d'administration en tant que président. Il gardera un œil sur l'entreprise et son fonctionnement. Il se réjouit d'entendre de plus en plus de gens dire que « Sony est de retour ». À son arrivée, ce n'était pas si évident. Les milieux financiers saluent en tout cas son départ : la mission a visiblement été accomplie.