Le scénario 1 : la pandémie se limite à l’Asie
Berceau de la contamination par le Covid-19, qui compte plus de 76.000 cas confirmés et plus de 2.200 décès, le continent asiatique est le premier touché par la pandémie. La Chine a déjà annoncé des mesures économiques d’envergure pour relancer l’activité alors que des millions de personnes sont encore en quarantaine et que le nombre de cas ne cesse d’augmenter de jour en jour.
Oxford Economics veut toutefois croire qu’il est possible de contenir le virus sur le continent asiatique ce qui permettrait d’éviter une pandémie de niveau mondial. C’est l’hypothèse la plus optimiste pour le cabinet, mais qui va malgré tout coûter cher à l’économie mondiale : 400 milliards de dollars de PIB en moins en 2020, soit une croissance mondiale amputée de 0,5%. Une analyse conforme à celles déjà rendues publiques.
Oxford Economics veut toutefois croire qu’il est possible de contenir le virus sur le continent asiatique ce qui permettrait d’éviter une pandémie de niveau mondial. C’est l’hypothèse la plus optimiste pour le cabinet, mais qui va malgré tout coûter cher à l’économie mondiale : 400 milliards de dollars de PIB en moins en 2020, soit une croissance mondiale amputée de 0,5%. Une analyse conforme à celles déjà rendues publiques.
Le scénario catastrophe : une pandémie globale
Le cabinet a toutefois émis une hypothèse qui est le scénario craint par tout le monde ; que la pandémie devienne mondiale et que l’ensemble de la planète se retrouve dans une situation de crise. Un scénario réaliste, bien que ses chances soient minces du fait des mesures prises par l’ensemble des pays.
Toutefois, s’il devait devenir réalité, l’impact sur l’économie mondiale serait énorme. Selon Oxford Economics, cela pourrait coûter jusqu’à 1.100 milliards de dollars, soit une croissance amputée de 1,3% pour la seule année 2020. La zone euro et les États-Unis pourraient même rentrer en récession, ce qui ne manquerait pas d’avoir des conséquences à moyen terme.
Toutefois, s’il devait devenir réalité, l’impact sur l’économie mondiale serait énorme. Selon Oxford Economics, cela pourrait coûter jusqu’à 1.100 milliards de dollars, soit une croissance amputée de 1,3% pour la seule année 2020. La zone euro et les États-Unis pourraient même rentrer en récession, ce qui ne manquerait pas d’avoir des conséquences à moyen terme.