En 2017, le gouvernement avait affiché un déficit public à 2,8%. D’après l’Insee, l’an dernier le déficit a également été maintenu sous le seuil des 3% avec 2,5%. Deux années de suite dans les clous de Bruxelles, voilà un changement notable qui n’était pas arrivé depuis 2006/2007. En 2016, le déficit public s’établissait à 3,5% du PIB. Le résultat obtenu en 2018 est meilleur que ce qu’en attendait le ministère de l’Économie, qui avait annoncé un déficit à 2,6%. En 2018, le déficit a atteint 59,6 milliards d’euros. « Les consommateurs ont consommé, les entrepreneurs ont entrepris, les investisseurs ont investi », a réagi Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, sur Twitter.
AU micro de RTL, le même ministre s’est réjoui de la situation : « Baisser d'un point le déficit en deux ans, c'est une performance (…) C'est toujours mieux d'être à zéro mais la politique économique du président fonctionne et fonctionne bien », assure-t-il. Gérald Darmanin poursuit en relevant le ralentissement des dépenses de fonctionnement, la décélération des consommations intermédiaires et des rémunérations étant donné l’absence de revalorisation du point d’indice.
Si le déficit baisse, en revanche la dette reste toujours très élevée : elle représentait l’an dernier 98,4% du PIB (2 315,3 milliards d’euros). Et l’État est pour partie responsable puisque ses dépenses de fonctionnement pèsent 73,5 milliards. Malgré tout, la dette s’est stabilisée grâce à la maîtrise du déficit : « nous avons mis fin à la dérive continue de nos finances publiques depuis plus de 10 ans », a réagi Bruno Le Maire sur Twitter.
AU micro de RTL, le même ministre s’est réjoui de la situation : « Baisser d'un point le déficit en deux ans, c'est une performance (…) C'est toujours mieux d'être à zéro mais la politique économique du président fonctionne et fonctionne bien », assure-t-il. Gérald Darmanin poursuit en relevant le ralentissement des dépenses de fonctionnement, la décélération des consommations intermédiaires et des rémunérations étant donné l’absence de revalorisation du point d’indice.
Si le déficit baisse, en revanche la dette reste toujours très élevée : elle représentait l’an dernier 98,4% du PIB (2 315,3 milliards d’euros). Et l’État est pour partie responsable puisque ses dépenses de fonctionnement pèsent 73,5 milliards. Malgré tout, la dette s’est stabilisée grâce à la maîtrise du déficit : « nous avons mis fin à la dérive continue de nos finances publiques depuis plus de 10 ans », a réagi Bruno Le Maire sur Twitter.