Une douzaine d’aéroports devront se séparer de centaines de personnels d’Air France. Notamment à Marseille, Bastia et à Ajaccio. Le plan de départs volontaires touchera plus de 10% des vols intérieurs de la compagnie aérienne et de sa filiale court et moyen courriers HOP, qui accumule les pertes : 190 millions d’euros l’an dernier. Ces lignes régionales sont concurrencées par le TGV ainsi que par les dessertes des compagnies à bas coût. Mais d’après Le Parisien, Transavia pourrait en profiter.
Transavia, c’est la compagnie low cost d’Air France qui s’occupe des destinations saisonnières sur les vols intérieurs. Selon une source du quotidien, elle pourrait remplacer certains vols opérés par Air France HOP. Certes, ce changement implique un accord entre la direction et les pilotes ; officieusement, les discussions auraient débuté. Benjamin Smith, le directeur général aux manettes depuis l’été dernier, a tâté le terrain auprès du SNPL, le principal syndicat de pilotes, à propos de Transavia et de l’utilisation que le groupe pourrait en faire à l’avenir.
Le développement des lignes intérieures est un sujet d’importance pour Air France, qui ne veut pas laisser le terrain aux seules low cost concurrentes. Il faut pour cela « déverrouiller » le potentiel de Transavia, qui ne peut pas faire voler plus de quarante avions. Le SNPL ne serait d’ailleurs pas opposé à une redistribution des cartes dans ce domaine.
Transavia, c’est la compagnie low cost d’Air France qui s’occupe des destinations saisonnières sur les vols intérieurs. Selon une source du quotidien, elle pourrait remplacer certains vols opérés par Air France HOP. Certes, ce changement implique un accord entre la direction et les pilotes ; officieusement, les discussions auraient débuté. Benjamin Smith, le directeur général aux manettes depuis l’été dernier, a tâté le terrain auprès du SNPL, le principal syndicat de pilotes, à propos de Transavia et de l’utilisation que le groupe pourrait en faire à l’avenir.
Le développement des lignes intérieures est un sujet d’importance pour Air France, qui ne veut pas laisser le terrain aux seules low cost concurrentes. Il faut pour cela « déverrouiller » le potentiel de Transavia, qui ne peut pas faire voler plus de quarante avions. Le SNPL ne serait d’ailleurs pas opposé à une redistribution des cartes dans ce domaine.