Jean-Marc Ayrault, premier ministre de François Hollande, a donc décidé d’aller dans le sens des taxis qui, comme première revendication, ont toujours demandé l’arrêt total de l’immatriculation des VTC. C’est en effet là le centre du conflit.
Notamment, les taxis estiment qu’il y a une distorsion de la concurrence puisque la licence pour un taxi coûte environ 200 000 euros par an alors que l’immatriculation d’un véhicule de tourisme avec chauffeur ne coûte que 120 euros. Une différence gigantesque qui a entraîné le début du mouvement syndical des taxis. Ce dernier a culminé le 12 février 2014 avec de nombreux blocages et ralentissements dans Paris et ses alentours.
Jean-Marc Ayrault a compris le message et a affirmé aux micros d’Europe 1 le 13 février 2014 qu’il y a « une distorsion de la concurrence ». L’arrêt temporaire des immatriculations de véhicules VTC devrait donc permettre au gouvernement d’y voir plus clair. Il devrait durer près de deux mois, soit le temps de la médiation en cours entre le gouvernement et les représentants de l’intersyndicale des taxis.
Le message, fort, a été entendu par les grévistes. L’intersyndicale a immédiatement appelé les taxis à cesser les blocages et les manifestations même si quelques centaines de conducteurs restaient mobilisés ce 13 février 2014 dans la capitale.
Notamment, les taxis estiment qu’il y a une distorsion de la concurrence puisque la licence pour un taxi coûte environ 200 000 euros par an alors que l’immatriculation d’un véhicule de tourisme avec chauffeur ne coûte que 120 euros. Une différence gigantesque qui a entraîné le début du mouvement syndical des taxis. Ce dernier a culminé le 12 février 2014 avec de nombreux blocages et ralentissements dans Paris et ses alentours.
Jean-Marc Ayrault a compris le message et a affirmé aux micros d’Europe 1 le 13 février 2014 qu’il y a « une distorsion de la concurrence ». L’arrêt temporaire des immatriculations de véhicules VTC devrait donc permettre au gouvernement d’y voir plus clair. Il devrait durer près de deux mois, soit le temps de la médiation en cours entre le gouvernement et les représentants de l’intersyndicale des taxis.
Le message, fort, a été entendu par les grévistes. L’intersyndicale a immédiatement appelé les taxis à cesser les blocages et les manifestations même si quelques centaines de conducteurs restaient mobilisés ce 13 février 2014 dans la capitale.