C'est fin août que l'opération à proprement parler aurait dû débuter. Ceconomy, une ancienne filiale de Metro, avait l'intention de mettre la main sur le groupe français Fnac Darty en mettant le prix : 2,7 milliards d'euros. Mais l'entreprise, qui est par ailleurs actionnaire à hauteur de 24% de Fnac Darty et compte trois membres à son conseil d'administration, avait réfléchi pendant de longs mois à cette transaction.
En juin, l'offre était prête. Ceconomy voulait proposer un prix par action de plus de 100 €, alors que le titre était alors coté 80 €. Une belle opération pour les actionnaires qui auraient sans doute apporté leurs titres. Ce d'autant que la société allemande souhaitait reproduire le modèle mis en place par Fnac Darty, à savoir vendre du service autour des produits afin d'améliorer la rentabilité.
Mais voilà, Ceconamy a renoncé à la transaction en raison de difficultés commerciales : une baisse de son chiffre d'affaires enregistré pendant l'été, puis de mauvaises performances en septembre l'ont poussé à abandonner complètement cette idée. Le groupe a même publié deux alertes sur résultats, entraînant une chute de son cours de Bourse de 30% en un mois. Le directeur général a fait ses valises. Et il n'est plus question d'attaquer le marché français…
En juin, l'offre était prête. Ceconomy voulait proposer un prix par action de plus de 100 €, alors que le titre était alors coté 80 €. Une belle opération pour les actionnaires qui auraient sans doute apporté leurs titres. Ce d'autant que la société allemande souhaitait reproduire le modèle mis en place par Fnac Darty, à savoir vendre du service autour des produits afin d'améliorer la rentabilité.
Mais voilà, Ceconamy a renoncé à la transaction en raison de difficultés commerciales : une baisse de son chiffre d'affaires enregistré pendant l'été, puis de mauvaises performances en septembre l'ont poussé à abandonner complètement cette idée. Le groupe a même publié deux alertes sur résultats, entraînant une chute de son cours de Bourse de 30% en un mois. Le directeur général a fait ses valises. Et il n'est plus question d'attaquer le marché français…