Un dilemme pour celui qui est assis sur une fortune estimée à 80 milliards de dollars, selon le décompte de Bloomberg. Jeff Bezos est tout simplement un des hommes les plus riches au monde. Mais son problème est simple : il ne sait plus quoi faire de tout cet argent. C'est pourquoi il s'est tout simplement tourné vers les réseaux sociaux pour avoir quelques idées pour utiliser au mieux toute cette fortune.
Le fondateur d'Amazon a plusieurs activités : il est par exemple le créateur de Blue Origin, une entreprise spécialisée dans les lanceurs spatiaux. La prochaine étape de cette société, ce sont d'ailleurs les vols habités humains. Il s'est également offert le fameux groupe de presse Washington Post, ce qui lui a d'ailleurs valu quelques inimitiés avec le nouveau président américain Donald Trump.
Mais cette fois, il compte s'investir dans des missions philanthropiques de plus court terme. Bezos veut que son argent serve à améliorer la vie des gens « ici et maintenant », à l'intersection des « besoins urgents » et de « l'impact durable ». C'est pourquoi il a demandé à ses abonnés de lui donner des suggestions. Le chef d'entreprise a évidemment déjà reçu bon nombre de propositions, pour les bibliothèques et les droits humains.
Le fondateur d'Amazon a plusieurs activités : il est par exemple le créateur de Blue Origin, une entreprise spécialisée dans les lanceurs spatiaux. La prochaine étape de cette société, ce sont d'ailleurs les vols habités humains. Il s'est également offert le fameux groupe de presse Washington Post, ce qui lui a d'ailleurs valu quelques inimitiés avec le nouveau président américain Donald Trump.
Mais cette fois, il compte s'investir dans des missions philanthropiques de plus court terme. Bezos veut que son argent serve à améliorer la vie des gens « ici et maintenant », à l'intersection des « besoins urgents » et de « l'impact durable ». C'est pourquoi il a demandé à ses abonnés de lui donner des suggestions. Le chef d'entreprise a évidemment déjà reçu bon nombre de propositions, pour les bibliothèques et les droits humains.
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