Cette rançon se monte à 300 $, à régler avec la fameuse devise cryptée. Cette cyberattaque a d'abord frappé la Russie et l'Ukraine, avant de s'étendre au reste du monde, tout particulièrement en Europe et en Amérique du Nord. Plusieurs grandes entreprises, comme Saint-Gobain en France, le géant pétrolier Rosneft en Russie ou le groupe de publicité anglais WPP Group ont été touchés à plus ou moins grande échelle.
Pour ce qui concerne la France, une enquête a été ouverte tandis que les autorités appellent à la plus grande prudence — et s'il le faut, à isoler du réseau les PC qui pourraient être infectés. Elles conseillent aussi de ne rien payer car les pirates pourraient ne pas donner la clé qui déverrouillerait les données. C'est une fois encore les ordinateurs sous Windows, et en particulier les plus anciens encore en fonctionnement, qui sont visés. Bien souvent, les utilisateurs de ces PC n'appliquent pas ou plus les mises à jour de sécurité, laissant les machines sans défense face à ce type de menaces.
Il y a quelques semaines, c'est un autre de ces « rançongiciels » qui faisaient parler de lui : WannaCry. Là aussi il fallait payer une rançon pour récupérer les données de son disque dur. Un développeur anglais avait alors pu stopper nette la propagation de ce virus. Petya, qui exploite les mêmes failles que son prédécesseur, semble lui bien plus virulent.
Pour ce qui concerne la France, une enquête a été ouverte tandis que les autorités appellent à la plus grande prudence — et s'il le faut, à isoler du réseau les PC qui pourraient être infectés. Elles conseillent aussi de ne rien payer car les pirates pourraient ne pas donner la clé qui déverrouillerait les données. C'est une fois encore les ordinateurs sous Windows, et en particulier les plus anciens encore en fonctionnement, qui sont visés. Bien souvent, les utilisateurs de ces PC n'appliquent pas ou plus les mises à jour de sécurité, laissant les machines sans défense face à ce type de menaces.
Il y a quelques semaines, c'est un autre de ces « rançongiciels » qui faisaient parler de lui : WannaCry. Là aussi il fallait payer une rançon pour récupérer les données de son disque dur. Un développeur anglais avait alors pu stopper nette la propagation de ce virus. Petya, qui exploite les mêmes failles que son prédécesseur, semble lui bien plus virulent.