L'accord de Paris conclu en 2015 regroupe 195 pays déterminés à lutter contre le réchauffement climatique. En juin, le président américain, climato-sceptique notoire, avait annoncé son intention d'en retirer les États-Unis, un des plus gros pollueur de la planète. Néanmoins, il avait assorti cette annonce de la possibilité de négocier afin de trouver des mesures plus « équitables » pour le pays. Les tractations en coulisses, notamment entre Donald Trump et Emmanuel Macron, semblent avoir donné des résultats.
Rex Tillerson, le secrétaire d'État américain, a déclaré à la télévision US que la Maison Blanche laissait la porte ouverte à un maintien dans l'accord de Paris. « Le président a déclaré qu'il recherchait des conditions favorables pour que nous restions engagés aux côtés des autres sur ce que nous considérons tous comme un problème à résoudre », a-t-il indiqué. Gary Cohn, principal conseiller économique du président américain, est chargé de cette question au sein de l'administration Trump. Cohn est un des partisans du maintien des États-Unis dans l'accord de Paris.
« Nous voulons être productifs. Nous voulons être utiles », a encore assuré Tillerson. Un discours plus ouvert qu'en juin donc, qui est aussi celui employé par H.R. McMaster, le conseiller à la sécurité nationale, qui a affirmé que Donald Trump était ouvert à « toute discussion qui nous aidera à améliorer l'environnement ». Ce week-end s'est tenu à Montréal une réunion sur le climat à laquelle ont participé trente des pays signataires.
Rex Tillerson, le secrétaire d'État américain, a déclaré à la télévision US que la Maison Blanche laissait la porte ouverte à un maintien dans l'accord de Paris. « Le président a déclaré qu'il recherchait des conditions favorables pour que nous restions engagés aux côtés des autres sur ce que nous considérons tous comme un problème à résoudre », a-t-il indiqué. Gary Cohn, principal conseiller économique du président américain, est chargé de cette question au sein de l'administration Trump. Cohn est un des partisans du maintien des États-Unis dans l'accord de Paris.
« Nous voulons être productifs. Nous voulons être utiles », a encore assuré Tillerson. Un discours plus ouvert qu'en juin donc, qui est aussi celui employé par H.R. McMaster, le conseiller à la sécurité nationale, qui a affirmé que Donald Trump était ouvert à « toute discussion qui nous aidera à améliorer l'environnement ». Ce week-end s'est tenu à Montréal une réunion sur le climat à laquelle ont participé trente des pays signataires.