La Fédération n'est pas allée jusqu'à livrer le chiffre d'affaires du secteur, mais globalement on comprend que les choses ne se sont pas si mal passées l'an dernier : les ventes ont ainsi augmenté de 0,7%. Signe de la montée en gamme des goûts des consommateurs français, selon les professionnels du secteur.
Sylvie Hénon-Badoinot, la président de la Fédération, s'est réjouie devant l'AFP que les Français consommaient certes moins, mais… mieux. « Il y a une sophistication de l'offre de toute la filière, y compris des barmen et des cavistes qui éduquent le consommateur ». Actuellement, « les amers sont de nouveau à la mode, on est passé de cocktails pas très typés à une recherche du goût ».
Malgré tout, la baisse de la consommation a surtout touché la grande distribution, avec -0,5%. La filière a écoulé l'an dernier 278 millions de litres. Dans les bars et les restaurants en revanche, la tendance a été à la hausse, avec 32,5 millions de litres, soit 2,3% de mieux. Or, ce sont dans ces endroits que les goûts se font et se défont. De véritables prescripteurs qui mettent ensuite de quatre à cinq ans avant d'arriver chez le consommateur.
Sylvie Hénon-Badoinot, la président de la Fédération, s'est réjouie devant l'AFP que les Français consommaient certes moins, mais… mieux. « Il y a une sophistication de l'offre de toute la filière, y compris des barmen et des cavistes qui éduquent le consommateur ». Actuellement, « les amers sont de nouveau à la mode, on est passé de cocktails pas très typés à une recherche du goût ».
Malgré tout, la baisse de la consommation a surtout touché la grande distribution, avec -0,5%. La filière a écoulé l'an dernier 278 millions de litres. Dans les bars et les restaurants en revanche, la tendance a été à la hausse, avec 32,5 millions de litres, soit 2,3% de mieux. Or, ce sont dans ces endroits que les goûts se font et se défont. De véritables prescripteurs qui mettent ensuite de quatre à cinq ans avant d'arriver chez le consommateur.