De plus en plus d’inscrits auprès des Restos du Coeur
Fondée par Coluche, l’association vient en aide aux plus démunis. S’y inscrire se fait sur conditions de ressources… mais le nombre d’inscrits n’a de cesse d’augmenter. Patrice Douret, son président, détaille au journal : « on constate une augmentation de 12% des personnes inscrites et accueillies depuis avril dernier ».
Une augmentation qui conduit à une hausse de 15% du nombre de familles inscrites et, surtout, une forte hausse du nombre d’enfants en bas âge (0-3 ans) : +25%. Les mères célibataires sont en effet particulièrement touchées par la hausse des prix, surtout les prix des produits de première nécessité pour les bébés tels que les couches et les petits pots. « Ces chiffres nous inquiètent au plus haut point », déplore Patrice Douret.
Une augmentation qui conduit à une hausse de 15% du nombre de familles inscrites et, surtout, une forte hausse du nombre d’enfants en bas âge (0-3 ans) : +25%. Les mères célibataires sont en effet particulièrement touchées par la hausse des prix, surtout les prix des produits de première nécessité pour les bébés tels que les couches et les petits pots. « Ces chiffres nous inquiètent au plus haut point », déplore Patrice Douret.
Des frais en hausse et un appel à la solidarité
Pour le président des Restos du Coeur, une certitude : « nous sommes totalement gratuits. Nous ne vendons rien et il est hors de question que ça change ». Malheureusement elle n’est pas à l’abri des difficultés. Les frais augmentent, pour elle comme pour les bénévoles dont l’association ne peut prendre en charge les frais de déplacement et donc de carburant.
Mais ce n’est pas tout : « depuis le mois d’avril, nous avons 15 à 20% de dépenses supplémentaires. Les céréales, l’huile, les produits pour les bébés ont beaucoup augmenté. C’est la première année, aussi, que nous devons acheter du lait car auparavant, nous avions des dons de producteurs. C’est pareil avec les œufs et les volailles ».
La situation est critique, et les Restos du Coeur le rappellent : « Nous sommes une association historique mais nous ne sommes à l’abri de rien. Nous avons besoin de la générosité de tout le monde pour passer ce cap. Chaque don compte, y compris ceux venant des entreprises. »
Mais ce n’est pas tout : « depuis le mois d’avril, nous avons 15 à 20% de dépenses supplémentaires. Les céréales, l’huile, les produits pour les bébés ont beaucoup augmenté. C’est la première année, aussi, que nous devons acheter du lait car auparavant, nous avions des dons de producteurs. C’est pareil avec les œufs et les volailles ».
La situation est critique, et les Restos du Coeur le rappellent : « Nous sommes une association historique mais nous ne sommes à l’abri de rien. Nous avons besoin de la générosité de tout le monde pour passer ce cap. Chaque don compte, y compris ceux venant des entreprises. »