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Ces produits devaient pourtant disparaitre des rayons en 2016. La Commission justifie cette décision : « Reporter le retrait au 1er septembre 2018 donne plus de temps aux industriels pour créer des emplois de substitution ». Il faut dire que la technologie de substitution, à savoir les ampoules LED, est majoritairement produite en Asie alors que les usines fabricant des éclairages plus traditionnels — ceux visés par cette réglementation — sont européennes.
Les suppressions d’emplois liées à cette mesure ont été mesurées à 6 800 postes en Europe, a calculé la Commission. Les industriels souhaitaient ainsi un report de la disparition des ampoules éco-halogènes à 2020. Toutefois, elle estime que 2018 reste un « compromis acceptable » pour assurer à l’ensemble des usines de production une « transition douce ».
Ce report a tout de même un coût, coiffé à 6,6 milliards d’euros par l’agence CLASP, qui a pris en compte la consommation électrique nécessaire pour ce type d’ampoules sur dix ans. Car passer au LED est aussi une mesure d’économie pour les particuliers.
Les suppressions d’emplois liées à cette mesure ont été mesurées à 6 800 postes en Europe, a calculé la Commission. Les industriels souhaitaient ainsi un report de la disparition des ampoules éco-halogènes à 2020. Toutefois, elle estime que 2018 reste un « compromis acceptable » pour assurer à l’ensemble des usines de production une « transition douce ».
Ce report a tout de même un coût, coiffé à 6,6 milliards d’euros par l’agence CLASP, qui a pris en compte la consommation électrique nécessaire pour ce type d’ampoules sur dix ans. Car passer au LED est aussi une mesure d’économie pour les particuliers.