Matthias Müller, le patron de Volkswagen, a pourtant tenté de montrer patte blanche en proposant d'investir 900 millions de dollars pour « réparer les choses » aux États-Unis. Mais l'entreprise ferait preuve d'une certaine réticence à coopérer avec les autorités américaines. Volkswagen dénombre plus de 600 000 véhicules équipés d'un logiciel frauduleux pour « tricher » dans les tests anti-pollution.
Le plan de Volkswagen ne répond tout simplement pas à l'impact qu'ont ces moteurs truqués sur les émissions de gaz, sur la sécurité et les performances des véhicules, explique le CARB, l'agence californienne de protection de l'environnement. Ce même plan est jugé « inacceptable » par l'EPA, l'agence fédérale de protection de l'environnement.
Mercredi 13 janvier, le patron de Volkswagen sera dans ses petits souliers : il doit en effet présenter de nouvelles mesures, après des excuses présentées dimanche dernier auprès des autorités US. Il lui faudra améliorer les choses et ne pas venir les mains vides.
Le plan de Volkswagen ne répond tout simplement pas à l'impact qu'ont ces moteurs truqués sur les émissions de gaz, sur la sécurité et les performances des véhicules, explique le CARB, l'agence californienne de protection de l'environnement. Ce même plan est jugé « inacceptable » par l'EPA, l'agence fédérale de protection de l'environnement.
Mercredi 13 janvier, le patron de Volkswagen sera dans ses petits souliers : il doit en effet présenter de nouvelles mesures, après des excuses présentées dimanche dernier auprès des autorités US. Il lui faudra améliorer les choses et ne pas venir les mains vides.