En 2002 déjà, les confiseurs d’Aix avaient tenté d’obtenir une indication géographique protégée (IGP) auprès de l’Union européenne. Cette IGP interdit à une entreprise de fabriquer un produit si elle ne respecte pas un cahier des charges strict. Hélas, à l’époque les professionnels ne s’étaient pas entendus sur la recette à protéger.
Une nouvelle tentative est en cours depuis 2010, avec cette fois un cahier des charges précis : pour être qualifié de calisson d’Aix, la confiserie doit être composée d’un tiers d’amandes, d’un tiers de sucre et d’un tiers de fruits confits, dont au moins 80% de melon cultivés en Provence. Une recette qui rend impossible à une entreprise étrangère, a fortiori une chinoise, de produire des calissons…
L’IGP demandée par l'Union des Fabricants de Calissons d'Aix (UFCA) devrait être visée par les autorités européennes au début de l’année prochaine, mais elle nécessitera au moins une année d’instruction avant qu’elle soit délivrée. La Chine n’a pas attendu les professionnels et l’Union européenne…
Une nouvelle tentative est en cours depuis 2010, avec cette fois un cahier des charges précis : pour être qualifié de calisson d’Aix, la confiserie doit être composée d’un tiers d’amandes, d’un tiers de sucre et d’un tiers de fruits confits, dont au moins 80% de melon cultivés en Provence. Une recette qui rend impossible à une entreprise étrangère, a fortiori une chinoise, de produire des calissons…
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