Les magasins André, reconnaissables à leur logo rouge en façade, vont faire partie d'un site de vente en ligne. C'est Spartoo qui empoche la mise, après que Vivarte a fait part de sa volonté de se recentrer sur quelques marques phare : San Marina, CosmoParis, Caroll, Minelli et La Halle chaussures et vêtements. Dans ce nouveau schéma censé redresser l'activité du groupe, plusieurs enseignes n'ont plus leur place : c'est le cas des vêtements Naf Naf, des chaussures Besson, et d'André.
André est une enseigne bien connue des centres-ville. L'entreprise a été fondée en 1896, son réseau compte 175 boutiques qui emploie 800 salariés. Quant à Spartoo, c'est une société créée en 2006 à Grenoble. Après avoir prospéré en ligne, le site a ouvert sa première boutique physique en 2015. L'acquisition d'André va lui offrir un réseau bien plus étendu, avec des magasins répartis partout sur le territoire à des emplacements intéressants.
Vivarte est un groupe en difficulté. Durant son exercice 2016/2017, il a accusé un recul de 18% de son chiffre d'affaires. Toutefois, le travail de fond réalisé dans la structure de l'entreprise et auprès des salariés a permis de réduire les pertes de moitié et de dégager un excédent brut d'exploitation en progression, une première en six ans. La cession d'André et des autres marques mises en vente (on saura qui achètera Naf Naf et Besson dans les jours prochains) devrait permettre de continuer à redresser la barre du navire.
André est une enseigne bien connue des centres-ville. L'entreprise a été fondée en 1896, son réseau compte 175 boutiques qui emploie 800 salariés. Quant à Spartoo, c'est une société créée en 2006 à Grenoble. Après avoir prospéré en ligne, le site a ouvert sa première boutique physique en 2015. L'acquisition d'André va lui offrir un réseau bien plus étendu, avec des magasins répartis partout sur le territoire à des emplacements intéressants.
Vivarte est un groupe en difficulté. Durant son exercice 2016/2017, il a accusé un recul de 18% de son chiffre d'affaires. Toutefois, le travail de fond réalisé dans la structure de l'entreprise et auprès des salariés a permis de réduire les pertes de moitié et de dégager un excédent brut d'exploitation en progression, une première en six ans. La cession d'André et des autres marques mises en vente (on saura qui achètera Naf Naf et Besson dans les jours prochains) devrait permettre de continuer à redresser la barre du navire.