L’an dernier, les entreprises ont versé 1 370 milliards de dollars aux actionnaires, un chiffre en progression de 9,3% par rapport à 2017, et de 8,5% hors distribution exceptionnelle. La tendance à long terme était comprise entre 5 et 7%, le rendement en 2018 a donc été exceptionnel, ce d’autant que le marché des actions a présenté le pire résultat depuis dix ans. La société de gestion Janus Henderson explique que la bonne fortune des actionnaires est le résultat de trois éléments ; il y a évidemment la réforme fiscale aux États-Unis qui a permis aux dividendes de gonfler.
Plusieurs secteurs sont revenus à des niveaux de dividendes normaux, après plusieurs années en recul (c’est le cas pour les industries bancaire, minière et pétrolière). Enfin, les grandes entreprises du numérique et des technologies ont emboîté le pas des sociétés traditionnelles et versent désormais plus facilement des dividendes. De fait, et malgré des actions qui ont piqué du nez l’an dernier, 9 entreprises sur 10 ont maintenu leurs dividendes, voire les ont augmentés.
Dans plusieurs pays, les dividendes ont atteint des sommets historiques : c’est le cas aux États-Unis, au Japon, au Canada, en Allemagne. Pour l’année 2019, le tableau est un peu moins rose. Si le niveau des dividendes devrait battre de nouveaux records, la hausse du montant versé ne sera « que » de 3,3% (5,1% hors versements exceptionnels). Les incertitudes économiques pèsent désormais sur les résultats des entreprises et, par ricochets, sur les dividendes aux actionnaires.
Plusieurs secteurs sont revenus à des niveaux de dividendes normaux, après plusieurs années en recul (c’est le cas pour les industries bancaire, minière et pétrolière). Enfin, les grandes entreprises du numérique et des technologies ont emboîté le pas des sociétés traditionnelles et versent désormais plus facilement des dividendes. De fait, et malgré des actions qui ont piqué du nez l’an dernier, 9 entreprises sur 10 ont maintenu leurs dividendes, voire les ont augmentés.
Dans plusieurs pays, les dividendes ont atteint des sommets historiques : c’est le cas aux États-Unis, au Japon, au Canada, en Allemagne. Pour l’année 2019, le tableau est un peu moins rose. Si le niveau des dividendes devrait battre de nouveaux records, la hausse du montant versé ne sera « que » de 3,3% (5,1% hors versements exceptionnels). Les incertitudes économiques pèsent désormais sur les résultats des entreprises et, par ricochets, sur les dividendes aux actionnaires.