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Et il n’y a pas de raison pour que cette tendance à la baisse ne se maintienne pas encore tout au long du premier semestre, voire au-delà. Habituellement, le marché locatif privé montre une tendance à la stagnation en hiver, voire au repli : il n’en a rien été en février, puisque le taux de mobilité résidentielle des locataires a atteint les 28,9% : cette fluidité rejoint celle calculée avant la crise en 2008.
De bon augure pour les locataires donc, exception faite de Paris où la demande reste très forte mais où les biens disponibles sont toujours très restreints. Et l’encadrement des loyers qui doit rentrer en œuvre cette année ne va certainement pas aider.
Toutefois, dans l’ensemble, les prix des loyers reculent donc, et ce dans 14 des 22 régions — c’était seulement 9 régions en 2013 — et 80% des grandes villes où pourtant, les tensions sur le logement sont les plus importantes. Les studios et les 2 pièces sont parmi les biens qui baissent sensiblement, de respectivement 2 et 1,8%. En revanche, les grands volumes comme les T5 voient leurs prix augmenter, de 3,5% en l’occurrence.
Si cette tendance baissière est plutôt bonne pour le pouvoir d’achat des ménages, les propriétaires bailleurs limitent désormais leurs travaux de rénovation. Les biens mis en location après travaux n’ont représenté que 12% des logements en février, contre 16,5% l’année dernière.
De bon augure pour les locataires donc, exception faite de Paris où la demande reste très forte mais où les biens disponibles sont toujours très restreints. Et l’encadrement des loyers qui doit rentrer en œuvre cette année ne va certainement pas aider.
Toutefois, dans l’ensemble, les prix des loyers reculent donc, et ce dans 14 des 22 régions — c’était seulement 9 régions en 2013 — et 80% des grandes villes où pourtant, les tensions sur le logement sont les plus importantes. Les studios et les 2 pièces sont parmi les biens qui baissent sensiblement, de respectivement 2 et 1,8%. En revanche, les grands volumes comme les T5 voient leurs prix augmenter, de 3,5% en l’occurrence.
Si cette tendance baissière est plutôt bonne pour le pouvoir d’achat des ménages, les propriétaires bailleurs limitent désormais leurs travaux de rénovation. Les biens mis en location après travaux n’ont représenté que 12% des logements en février, contre 16,5% l’année dernière.