Contexte géopolitique instable
Le Moyen-Orient est à nouveau au cœur des préoccupations mondiales suite à une escalade significative des tensions. Après une attaque attribuée à Israël sur un consulat iranien à Damas, qui aurait fait 16 morts, dont sept membres des Gardiens de la Révolution, l'Iran a promis des représailles. Cette déclaration survient dans un climat déjà tendu, marqué par des échanges hostiles et des opérations militaires continues, notamment dans la bande de Gaza.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a averti que toute attaque de l'Iran entraînerait une riposte immédiate d'Israël. Dans ce climat de menace accrue, le prix du baril de Brent oscillait autour de 91 dollars, tandis que le West Texas Intermediate (WTI) était à 87 dollars. Les analystes, comme Han Tan de chez Exinity, soulignent que les craintes d'une extension du conflit maintiennent les prix à un niveau élevé, portés par la peur d'une interruption de l'approvisionnement.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a averti que toute attaque de l'Iran entraînerait une riposte immédiate d'Israël. Dans ce climat de menace accrue, le prix du baril de Brent oscillait autour de 91 dollars, tandis que le West Texas Intermediate (WTI) était à 87 dollars. Les analystes, comme Han Tan de chez Exinity, soulignent que les craintes d'une extension du conflit maintiennent les prix à un niveau élevé, portés par la peur d'une interruption de l'approvisionnement.
Impact potentiel sur les prix du pétrole
Alors que le monde observe avec inquiétude l'évolution de la situation, les marchés pétroliers se préparent à l'impact d'une possible attaque iranienne, qu'elle soit directe ou par des intermédiaires. « Si l'Iran attaque Israël, il est certain que le pétrole connaîtra une hausse soudaine », explique Han Tan. Toutefois, cette tendance haussière pourrait être modérée par des facteurs tels que les stocks élevés aux États-Unis et les décisions de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine.
En parallèle, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) offrent des perspectives divergentes sur la demande future. L'AIE prévoit un ralentissement de la demande, avec un pic potentiel cette décennie, tandis que l'OPEP reste plus optimiste, soutenant que la consommation de pétrole continuera d'augmenter, stimulée notamment par les transports, en particulier l'aviation.
En parallèle, l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) offrent des perspectives divergentes sur la demande future. L'AIE prévoit un ralentissement de la demande, avec un pic potentiel cette décennie, tandis que l'OPEP reste plus optimiste, soutenant que la consommation de pétrole continuera d'augmenter, stimulée notamment par les transports, en particulier l'aviation.