C’est désormais officiel : le ministère de l’Écologie a annoncé ce dimanche 16 décembre que les tarifs réglementés du gaz baisseront de 2% à partir du 1er janvier. Une bonne nouvelle pour les abonnés Engie qui profitent de ces prix réglementés. Le ministère précise : « Avec le gel de la Taxe intérieure de consommation sur le gaz naturel (TICGN) au 1er janvier 2019, les tarifs réglementés fournis par Engie pour les consommateurs particuliers baisseront de près de 2 % par rapport à leur niveau de décembre 2018 ». Par ailleurs, ces tarifs n’augmenteront pas « jusqu’à la fin du mois de juin 2019 », conformément à l’engagement pris par le Premier ministre pour calmer la grogne des « gilets jaunes » sur le pouvoir d’achat.
Le gouvernement a demandé à Engie de procéder à une opération de couverture sur les volumes de ventes aux tarifs réglementés entre février et juin de l’année prochaine. « Cette opération conduira à la suspension, pour ces cinq mois, de la formule d’évolution des tarifs réglementés d’Engie actuellement utilisée », explique le ministère de l’Écologie dans son communiqué. Cette mesure de couverture est nécessaire afin de garantir un gel effectif des tarifs réglementés du gaz.
Et si jamais les coûts d’approvisionnement, sur lesquels se base la formule de calcul de variation des tarifs réglementés, devraient fortement augmenter pendant la période, le gouvernement demandera à l’opérateur de cesser ses opérations. Actuellement, les conditions de marché sont favorables (notamment grâce à la baisse récente des prix du pétrole), mais leur évolution reste une inconnue.
Le gouvernement a demandé à Engie de procéder à une opération de couverture sur les volumes de ventes aux tarifs réglementés entre février et juin de l’année prochaine. « Cette opération conduira à la suspension, pour ces cinq mois, de la formule d’évolution des tarifs réglementés d’Engie actuellement utilisée », explique le ministère de l’Écologie dans son communiqué. Cette mesure de couverture est nécessaire afin de garantir un gel effectif des tarifs réglementés du gaz.
Et si jamais les coûts d’approvisionnement, sur lesquels se base la formule de calcul de variation des tarifs réglementés, devraient fortement augmenter pendant la période, le gouvernement demandera à l’opérateur de cesser ses opérations. Actuellement, les conditions de marché sont favorables (notamment grâce à la baisse récente des prix du pétrole), mais leur évolution reste une inconnue.