En France, les ventes ont été réussies autant sur la période calme du premier semestre de son exercice fiscal (qui se clos le 31 octobre et ne tient donc pas compte des ventes de fin d’années) que sur la période de Noël.
Le premier semestre s’est terminé avec une hausse des ventes de 2,7% tandis que le trimestre suivant (qui s’étale de novembre à janvier) enregistre une hausse globale de 3,2%. Pour le secteur France, principal marché du groupe britannique, la hausse a été de 4,9%. Or, cette période est stratégique pour le groupe puisqu’elle ne représente pas moins de 40% du total de l’année.
Ces résultats sont d’autant plus importants pour Darty qu’ils montrent que le groupe a une nouvelle fois pris des parts de marché sur ses concurrents. Toutes entreprises confondues, le secteur a en effet enregistré une baisse des ventes de 2% confirmant un secteur en crise faute de pouvoir d’achat des ménages.
Le groupe continue toutefois sa restructuration qui a été marquée par la fermeture de son siège parisien ainsi que l’abandon de certains marchés déficitaires comme ceux italien, espagnol et turc. D’autres marchés, notamment dans l’Est de l’Europe, pourraient être abandonnés dans les années à venir mais le groupe n’a pas encore pris de décision. Pour l’instant, les efforts de Darty se concentrent sur la France, les Pays-Bas et la Belgique.
De plus, la stratégie même du groupe a changé avec, par exemple, une baisse des prix ou encore la décision d’intégrer dans son catalogue des produits entrée de gamme, un temps absents par souci d’excellence.
Le premier semestre s’est terminé avec une hausse des ventes de 2,7% tandis que le trimestre suivant (qui s’étale de novembre à janvier) enregistre une hausse globale de 3,2%. Pour le secteur France, principal marché du groupe britannique, la hausse a été de 4,9%. Or, cette période est stratégique pour le groupe puisqu’elle ne représente pas moins de 40% du total de l’année.
Ces résultats sont d’autant plus importants pour Darty qu’ils montrent que le groupe a une nouvelle fois pris des parts de marché sur ses concurrents. Toutes entreprises confondues, le secteur a en effet enregistré une baisse des ventes de 2% confirmant un secteur en crise faute de pouvoir d’achat des ménages.
Le groupe continue toutefois sa restructuration qui a été marquée par la fermeture de son siège parisien ainsi que l’abandon de certains marchés déficitaires comme ceux italien, espagnol et turc. D’autres marchés, notamment dans l’Est de l’Europe, pourraient être abandonnés dans les années à venir mais le groupe n’a pas encore pris de décision. Pour l’instant, les efforts de Darty se concentrent sur la France, les Pays-Bas et la Belgique.
De plus, la stratégie même du groupe a changé avec, par exemple, une baisse des prix ou encore la décision d’intégrer dans son catalogue des produits entrée de gamme, un temps absents par souci d’excellence.