En plein scandale, Benjamin Griveaux retire sa candidature
Le 13 février 2020, un site Internet, rapidement repris sur les réseaux sociaux, a dévoilé des captures d’écran et des vidéos à caractère sexuel attribuées à Benjamin Griveaux. Après une réunion de crise avec ses équipes le soir même et, ensuite, le vendredi 14 février 2020, le candidat a annoncé se retirer de la course à la mairie. Ce dernier critique vivement la diffusion de ces images qu’il juge être de la sphère privée et qui, de plus, n’ont pas été confirmées.
Effectivement, les images sont attribuées à Benjamin Griveaux mais pourraient être le fait d’un montage. De plus, s’il y a faute, cette dernière concerne sa vie privée puisqu’il n’est pas question d’attitudes condamnables, si toutefois il s’agit de la vérité. Mais afin de protéger sa famille du scandale naissant, le candidat a décidé de se mettre en retrait.
Effectivement, les images sont attribuées à Benjamin Griveaux mais pourraient être le fait d’un montage. De plus, s’il y a faute, cette dernière concerne sa vie privée puisqu’il n’est pas question d’attitudes condamnables, si toutefois il s’agit de la vérité. Mais afin de protéger sa famille du scandale naissant, le candidat a décidé de se mettre en retrait.
La classe politique unanimement derrière Benjamin Griveaux
Selon les informations du journal Libération, ce serait l’artiste russe contestataire Piotr Pavlenski qui a diffusé ces images qu’il dit avoir obtenues d’une personne entretenant une relation consentie avec le candidat et ancien porte-parole du gouvernement.
La classe politique, de son côté, a unanimement condamné l’attaque faite contre Benjamin Griveaux. Les soutiens se sont multipliés, y compris de la part de ses adversaires qui ont estimé qu’une telle action n’a pas la place dans la vie politique française. C’est en effet un tournant dans cette dernière puisque, de fait, le candidat n’a commis aucun délit : de telles révélations teintent la campagne pour la Mairie de Paris d’une aura très américaine où les scandales de ce type sont régulièrement mis en avant par l’un ou l’autre camp lorsque l’occasion s’y présente.
La classe politique, de son côté, a unanimement condamné l’attaque faite contre Benjamin Griveaux. Les soutiens se sont multipliés, y compris de la part de ses adversaires qui ont estimé qu’une telle action n’a pas la place dans la vie politique française. C’est en effet un tournant dans cette dernière puisque, de fait, le candidat n’a commis aucun délit : de telles révélations teintent la campagne pour la Mairie de Paris d’une aura très américaine où les scandales de ce type sont régulièrement mis en avant par l’un ou l’autre camp lorsque l’occasion s’y présente.