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Le marché publicitaire cette année devrait atteindre les 529 milliards de dollars d'après l'agence médias Carat. C'est une progression de 4% (alors que les estimations annonçaient plutôt 4,7%). Pour 2016, la hausse sera probablement de 4,7% (au lieu de 5%), avec un chiffre d'affaires augmentant de 25 milliards.
La publicité reste une incroyable manne donc, qui ira en amplifiant puisque l'année 2016 sera marquée par les Jeux Olympiques au Brésil, la Coupe d'Europe de football qui se déroulera en France, ainsi que les élections présidentielles aux États-Unis. De quoi stimuler le marché.
Tous les pays ne sont pas logés à la même enseigne. En Europe occidentale, le marché publicitaire devrait être stable avec tout de même une tendance haussière : +2,6% cette année, +2,9% en 2016. Mais si le secteur sera porté par le Royaume-Uni et l'Espagne, la France reste largement derrière le peloton de tête avec un bien maigre +0,1% pour 2015 et +0,7% l'année prochaine.
Néanmoins, Carat juge cette progression « encourageante » : après tout, les estimations de l'agence pronostiquaient une stabilité pour cette année et +0,2% seulement en 2016. Pour le reste du monde, la Russie va complètement décrocher avec une perte de 14% prévue pour cette année, tandis que la Chine va connaître une décélération de +6% tout de même. Les États-Unis affichent une solide croissance de 4,3%.
La publicité reste une incroyable manne donc, qui ira en amplifiant puisque l'année 2016 sera marquée par les Jeux Olympiques au Brésil, la Coupe d'Europe de football qui se déroulera en France, ainsi que les élections présidentielles aux États-Unis. De quoi stimuler le marché.
Tous les pays ne sont pas logés à la même enseigne. En Europe occidentale, le marché publicitaire devrait être stable avec tout de même une tendance haussière : +2,6% cette année, +2,9% en 2016. Mais si le secteur sera porté par le Royaume-Uni et l'Espagne, la France reste largement derrière le peloton de tête avec un bien maigre +0,1% pour 2015 et +0,7% l'année prochaine.
Néanmoins, Carat juge cette progression « encourageante » : après tout, les estimations de l'agence pronostiquaient une stabilité pour cette année et +0,2% seulement en 2016. Pour le reste du monde, la Russie va complètement décrocher avec une perte de 14% prévue pour cette année, tandis que la Chine va connaître une décélération de +6% tout de même. Les États-Unis affichent une solide croissance de 4,3%.
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