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Ce lundi 21 décembre 2015 la polémique enfle après la publication du rapport de la Confédération Internationale des Syndicats (ITUC). Selon elle, dans les chantiers de la coupe du Monde, pas moins de 7 000 migrants pourraient mourir à cause de conditions de travail exécrables. Le chantier, lui, devrait rapporter quelques 15 milliards de dollars aux entreprises qataries qui ont gagné des appels d’offres pour les infrastructures.
L’ITUC va même plus loin, dans son rapport publié le 18 décembre 2015: elle considère que les 1,8 millions de travailleurs étrangers embauchés au Qatar sont des "esclaves des temps modernes". Ce n'est pas la première fois que le Qatar est accusé d'esclavage et critiqué pour les conditions de travail sur ses chantiers et, notamment, pour "des niveaux de salaires effroyablement bas, souvent fondés sur un système de discrimination raciale" comme le précise Sharan Burrow, secrétaire générale de l'ITUC.
Face à la polémique et à la mauvaise publicité, le Qatar se défend. Ce lundi 21 décembre 2015 le pays a démenti formellement le rapport qu'il considère comme "déformant délibérément des faits". Le Qatar déclare qu'aucun travailleur n'est décédé sur les chantiers de la Coupe du Monde de la FIFA 2022 et que rien ne laisse penser que des milliers de travailleurs pourraient décéder sur les chantiers d'ici-là.
Reste que les accusations portées par l'ITUC sont graves et ne font que réitérer des accusations régulières à l'encontre du Qatar.
L’ITUC va même plus loin, dans son rapport publié le 18 décembre 2015: elle considère que les 1,8 millions de travailleurs étrangers embauchés au Qatar sont des "esclaves des temps modernes". Ce n'est pas la première fois que le Qatar est accusé d'esclavage et critiqué pour les conditions de travail sur ses chantiers et, notamment, pour "des niveaux de salaires effroyablement bas, souvent fondés sur un système de discrimination raciale" comme le précise Sharan Burrow, secrétaire générale de l'ITUC.
Face à la polémique et à la mauvaise publicité, le Qatar se défend. Ce lundi 21 décembre 2015 le pays a démenti formellement le rapport qu'il considère comme "déformant délibérément des faits". Le Qatar déclare qu'aucun travailleur n'est décédé sur les chantiers de la Coupe du Monde de la FIFA 2022 et que rien ne laisse penser que des milliers de travailleurs pourraient décéder sur les chantiers d'ici-là.
Reste que les accusations portées par l'ITUC sont graves et ne font que réitérer des accusations régulières à l'encontre du Qatar.