La nouvelle présidente du groupe américain, Robyn Denholm, va poursuivre ses activités au sein de Tesltra, l’opérateur australien des télécommunications pendant six mois avant de prendre place au sein du conseil d’administration de Tesla. Le constructeur d’automobiles électriques explique dans le communiqué que pour assurer à la nouvelle présidente une transition réussie, Elon Musk — son prédécesseur — lui apportera toute l’aide et le soutien dont elle aura besoin. Robyn Denholm connaît le secteur des services informatiques (elle a travaillé au sein de Sun Microsystems) et celui de l’automobile avec une partie de sa carrière réalisée chez Toyota.
Elle est également membre du conseil d’administration de Tesla depuis quatre ans. Elle justifie donc d’une « expérience solide » dans tous ces domaines, et la future présidente a aussi « l’argent contribué à rendre Tesla plus performante », indique Elon Musk. Ce dernier demeure le patron du groupe où il impulse sa vision et son sens de l’innovation. Et parfois son grain de folie qui peut le mener à des impasses : il a ainsi dû laisser son poste de président suite à une entente à l’amiable avec la Securities Andy Exchange Commission (SEC), le gendarme américain de la Bourse.
Durant l’été, Elon Musk a annoncé un peu trop vite son intention de sortir Tesla de la cote boursière, en précisant que le financement de cette opération était « assuré ». Or, ce n’était pas du tout le cas : la SEC a estimé qu’il pouvait s’agir d’un cas de fraude et de tromperie des actionnaires. Le ton est monté entre Elon Musk et la commission, jusqu’à trouver un accord amiable : il paie 20 millions de dollars (Tesla également) et abandonne la place de président. Un moindre mal.
Elle est également membre du conseil d’administration de Tesla depuis quatre ans. Elle justifie donc d’une « expérience solide » dans tous ces domaines, et la future présidente a aussi « l’argent contribué à rendre Tesla plus performante », indique Elon Musk. Ce dernier demeure le patron du groupe où il impulse sa vision et son sens de l’innovation. Et parfois son grain de folie qui peut le mener à des impasses : il a ainsi dû laisser son poste de président suite à une entente à l’amiable avec la Securities Andy Exchange Commission (SEC), le gendarme américain de la Bourse.
Durant l’été, Elon Musk a annoncé un peu trop vite son intention de sortir Tesla de la cote boursière, en précisant que le financement de cette opération était « assuré ». Or, ce n’était pas du tout le cas : la SEC a estimé qu’il pouvait s’agir d’un cas de fraude et de tromperie des actionnaires. Le ton est monté entre Elon Musk et la commission, jusqu’à trouver un accord amiable : il paie 20 millions de dollars (Tesla également) et abandonne la place de président. Un moindre mal.