Les deux opérateurs se tournent autour depuis un moment. La Lettre de l'Expansion évoque des discussions entre les patrons des deux opérateurs, Stéphane Richard et Martin Bouygues : ils se seraient en effet rencontrés au début du mois pour évoquer l'acquisition de Bouygues par Orange. La Lettre parle même de négociations autour de « modalités financières » qui conviendraient aux deux parties.
Dans ce cadre, la valorisation de Bouygues Telecom serait de 10 milliards d'euros, une somme similaire à la précédente offre d'Orange qui l'an dernier déjà, voulait acheter l'opérateur. Ce rapprochement ne se ferait pas sans l'aval de l'Autorité de la concurrence puisque le marché de la téléphonie se contracterait : on passerait de quatre opérateurs, à trois. Avec des craintes pour la concurrence effectivement. C'est pourquoi les actifs de Bouygues seraient réparties entre les trois autres acteurs du secteur : à Free Mobile les fréquences, Orange et SFR se partageant les abonnés et les boutiques.
Mais visiblement, le dossier n'est pas encore ficelé. Bouygues Telecom a démenti catégoriquement toutes discussions avec un opérateur en vue d'une acquisition, même son de cloche du côté d'Orange. Mais le marché bruisse de tellement de rumeurs de consolidation (depuis le lancement de Free Mobile en 2012) qu'il ne saurait y avoir de fumée sans feu.
Dans ce cadre, la valorisation de Bouygues Telecom serait de 10 milliards d'euros, une somme similaire à la précédente offre d'Orange qui l'an dernier déjà, voulait acheter l'opérateur. Ce rapprochement ne se ferait pas sans l'aval de l'Autorité de la concurrence puisque le marché de la téléphonie se contracterait : on passerait de quatre opérateurs, à trois. Avec des craintes pour la concurrence effectivement. C'est pourquoi les actifs de Bouygues seraient réparties entre les trois autres acteurs du secteur : à Free Mobile les fréquences, Orange et SFR se partageant les abonnés et les boutiques.
Mais visiblement, le dossier n'est pas encore ficelé. Bouygues Telecom a démenti catégoriquement toutes discussions avec un opérateur en vue d'une acquisition, même son de cloche du côté d'Orange. Mais le marché bruisse de tellement de rumeurs de consolidation (depuis le lancement de Free Mobile en 2012) qu'il ne saurait y avoir de fumée sans feu.