SFR, qui deviendra Altice dans quelques mois, fait partie de ces opérateurs qui mettent beaucoup d’argent sur la table pour devenir des places fortes en matière de contenus. L’entreprise a ainsi signé des chèques d’un montant particulièrement élevé pour obtenir les droits de retransmission des plus importantes coupes européennes de football. Et l’opérateur de Patrick Drahi va amplifier sa politique de production de séries et de films TV pour irriguer les catalogues de ses chaînes.
Devant cet activisme, la prudence est de mise pour Orange. Stéphane Richard, le PDG de l’opérateur historique, a assuré au Monde qu’il n’est pas un « converti » de la convergence. « Si cela consiste à faire des chèques de 400 millions d'euros par an, pour acheter des droits sportifs ou 1,5 milliard pour des droits de foot, je n'en fais pas partie ». Allusion au montant déboursé par SFR pour les droits sportifs.
Orange a pourtant tenté de diffuser en exclusivité des matchs sportifs à la fin des années 2000. Mais la concurrence a contesté l’opérateur en justice. Finalement, « l’environnement juridique et concurrentiel est compliqué quand il s'agit de marier les télécoms et les contenus ». Sans oublier que le pari de SFR est risqué : rien ne dit que tous ces contenus premium très onéreux soient synonymes de recrutement de nouveaux abonnés.
Devant cet activisme, la prudence est de mise pour Orange. Stéphane Richard, le PDG de l’opérateur historique, a assuré au Monde qu’il n’est pas un « converti » de la convergence. « Si cela consiste à faire des chèques de 400 millions d'euros par an, pour acheter des droits sportifs ou 1,5 milliard pour des droits de foot, je n'en fais pas partie ». Allusion au montant déboursé par SFR pour les droits sportifs.
Orange a pourtant tenté de diffuser en exclusivité des matchs sportifs à la fin des années 2000. Mais la concurrence a contesté l’opérateur en justice. Finalement, « l’environnement juridique et concurrentiel est compliqué quand il s'agit de marier les télécoms et les contenus ». Sans oublier que le pari de SFR est risqué : rien ne dit que tous ces contenus premium très onéreux soient synonymes de recrutement de nouveaux abonnés.