Trois ans pour recruter 8.000 nouveaux salariés
Orange recrutera 8.000 personnes en CDI à partir de 2022 et jusqu'à la fin 2024, a annoncé l'opérateur télécoms. L'entreprise souhaite notamment porter une attention particulière à l'embauche des salariés de moins de 30 ans « dans les fonctions opérationnelles et sur les métiers du numérique », poursuit le groupe. Pour autant, les salariés de longue date ne sont pas oubliés : Orange prévoit également un nouveau dispositif de temps partiel.
Dans le détail, les employés en fin de carrière pourront, s'ils le souhaitent (c'est un programme basé sur le volontariat), aménager leur temps de travail sur une période de 18 à 60 mois précédant leur départ en retraite. Enfin, l'opérateur proposera également aux salariés la possibilité de faire une « pause » d'une durée de 3 à 12 mois pour suivre des études ou une formation, pour s'engager auprès d'une association ou un projet dans une PME ou une start-up.
Dans le détail, les employés en fin de carrière pourront, s'ils le souhaitent (c'est un programme basé sur le volontariat), aménager leur temps de travail sur une période de 18 à 60 mois précédant leur départ en retraite. Enfin, l'opérateur proposera également aux salariés la possibilité de faire une « pause » d'une durée de 3 à 12 mois pour suivre des études ou une formation, pour s'engager auprès d'une association ou un projet dans une PME ou une start-up.
Vigilance des syndicats
Gervais Pellissier, le directeur général délégué en charge de la transformation du groupe, explique dans le communiqué que « l'entreprise de demain se construit dès à présent ». Ces embauches et ces programmes visent à adapter Orange aux nouvelles exigences du marché, en particulier tout ce qui touche au numérique. Ces dispositifs sont la conséquence d'un accord intergénérationnel signé avec trois organisations syndicales.
Du côté syndical justement, on alerte sur le « défi de taille » que représente le programme de temps partiel pour les employés en fin de carrière. La CFE-CGC, qui n'a ps signé l'accord, se dit « plus que vigilant » sur les conséquences des départs naturels au sein de l'entreprise, qui s'établiront entre 6.000 et 10.000 dans les prochaines années. Des départs qui accroîtront la charge de travail « non maîtrisé » pour ceux qui restent.
Du côté syndical justement, on alerte sur le « défi de taille » que représente le programme de temps partiel pour les employés en fin de carrière. La CFE-CGC, qui n'a ps signé l'accord, se dit « plus que vigilant » sur les conséquences des départs naturels au sein de l'entreprise, qui s'établiront entre 6.000 et 10.000 dans les prochaines années. Des départs qui accroîtront la charge de travail « non maîtrisé » pour ceux qui restent.