Le catalogue de Paramount est prestigieux : c’est lui en effet qui a produit des blockbusters comme Indiana Jones, le Parrain, ou encore la série des Mission Impossible. Mais l’entreprise est bien mal gérée et croule sous une dette de 12 milliards de dollars, en majeure partie engloutie pour racheter ses propres actions.
Viacom, qui possède Paramount, pourrait bien ne pas avoir le choix que de se séparer de sa filiale coûteuse : le géant américain du câble souffre de la désaffection des téléspectateurs, qui se tournent vers internet. Le nouveau patron du groupe, Philippe Dauman, a évoqué récemment la possibilité d’une ouverture du capital de Paramount. C’est pourquoi les acquéreurs potentiels rôdent autour du studio.
Dreamworks, une société deux fois plus petite que Paramount, aimerait plutôt complètement avaler le studio. L’hypothèse d’une fusion circule en tout cas, avec à la manœuvre Jeffrey Katzenberg, patron de Dreamworks (King Fu Panda, L’Age de Glace…) et vieux routier d’Hollywood. Un tel mariage pourrait rebattre les cartes de l’industrie du cinéma américain.
Viacom, qui possède Paramount, pourrait bien ne pas avoir le choix que de se séparer de sa filiale coûteuse : le géant américain du câble souffre de la désaffection des téléspectateurs, qui se tournent vers internet. Le nouveau patron du groupe, Philippe Dauman, a évoqué récemment la possibilité d’une ouverture du capital de Paramount. C’est pourquoi les acquéreurs potentiels rôdent autour du studio.
Dreamworks, une société deux fois plus petite que Paramount, aimerait plutôt complètement avaler le studio. L’hypothèse d’une fusion circule en tout cas, avec à la manœuvre Jeffrey Katzenberg, patron de Dreamworks (King Fu Panda, L’Age de Glace…) et vieux routier d’Hollywood. Un tel mariage pourrait rebattre les cartes de l’industrie du cinéma américain.