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Les deux entreprises peuvent en revanche opérer des rapprochements d’ordre capitalistique dans des activités communes — c’est notamment le cas pour les réacteurs. Le marché en attendait toutefois plus de la part d’Emmanuel Macron, après les déclarations de Ségolène Royal.
Lundi 9 mars, la ministre de l’Écologie et de l’Énergie — la tutelle, donc — estimait qu’une fusion d’EDF et d’Areva était sur la table, ainsi que d’autres scénarios pour renforcer la filière nucléaire du pays, un secteur hautement stratégique pour l’État qui détient plus de 80% des deux sociétés.
Areva a annoncé des résultats annuels catastrophiques pour l’année 2014, tout en lançant un programme d’économies de l’ordre d’un milliard d’euros d’ici 2017. La mise au point du ministre de l’Économie a eu pour effet de faire plonger l’action d’EDF : les investisseurs croyaient en la possibilité d’une fusion avec Areva.
Lundi 9 mars, la ministre de l’Écologie et de l’Énergie — la tutelle, donc — estimait qu’une fusion d’EDF et d’Areva était sur la table, ainsi que d’autres scénarios pour renforcer la filière nucléaire du pays, un secteur hautement stratégique pour l’État qui détient plus de 80% des deux sociétés.
Areva a annoncé des résultats annuels catastrophiques pour l’année 2014, tout en lançant un programme d’économies de l’ordre d’un milliard d’euros d’ici 2017. La mise au point du ministre de l’Économie a eu pour effet de faire plonger l’action d’EDF : les investisseurs croyaient en la possibilité d’une fusion avec Areva.