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Les deux manifestations de ce lundi ne sont organisées que par une organisation syndicale, à savoir la CGPME. Il ne fait donc guère de doute qu'elles ne rassembleront pas autant de personnes qu'une mobilisation d'un syndicat de salariés, mais le symbole est clair : peu importe qu'ils soient 500 ou des centaines de milliers à protester devant le ministère des Finances à Bercy, le symbole est puissant.
Du côté du Medef, on attend surtout la journée de mercredi : à Lyon, l'organisation, rejointe par la CGPME et l'UPA, trois des plus importants syndicats patronaux, appellent en effet à un rassemblement. L'occasion de compter les troupes certes, mais aussi un moyen de peser auprès du gouvernement.
Le Medef déposera également un manifeste listant les demandes des patrons, lancera un site web afin de rendre compte, en vidéo, des difficultés des chefs d'entreprises, et organisera des réunions publiques à travers toute la France.
À l'occasion de cette semaine lourde en symboles, le patronat compte bien montrer à quel point la situation des entrepreneurs est difficile en France, malgré la flexibilité et les baisses des charges octroyées depuis quelques mois par le gouvernement de Manuel Valls. Après tout, c'est sans doute le bon moment pour enfoncer le clou…
Du côté du Medef, on attend surtout la journée de mercredi : à Lyon, l'organisation, rejointe par la CGPME et l'UPA, trois des plus importants syndicats patronaux, appellent en effet à un rassemblement. L'occasion de compter les troupes certes, mais aussi un moyen de peser auprès du gouvernement.
Le Medef déposera également un manifeste listant les demandes des patrons, lancera un site web afin de rendre compte, en vidéo, des difficultés des chefs d'entreprises, et organisera des réunions publiques à travers toute la France.
À l'occasion de cette semaine lourde en symboles, le patronat compte bien montrer à quel point la situation des entrepreneurs est difficile en France, malgré la flexibilité et les baisses des charges octroyées depuis quelques mois par le gouvernement de Manuel Valls. Après tout, c'est sans doute le bon moment pour enfoncer le clou…