En 2011, les cours du pétrole avaient atteint leur plus haut avec un baril flirtant avec les 115 $. La chute est brutale, le baril de Brent étant passé à 39,81 $ ce mardi 8 décembre à Londres. Rien de plus normal : l'OPEP, l'organisation des pays exportateurs de pétrole, n'a pas su s'entendre sur un plafond de production lors d'une réunion à Vienne, vendredi dernier.
Si on ajoute à ces tensions au sein de l'OPEP une lutte féroce pour gagner des parts de marché, la conséquence ne pouvait qu'être une nouvelle chute des cours. L'Arabie Saoudite a décidé d'ouvrir grand les vannes, quitte à ce que le prix du baril continue de s'effondrer. Et d'après le ministre saoudien du pétrole, le royaume ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, même si le baril devait flirter avec les 20 $.
Tout cela est bon à prendre pour les clients de l'OPEP, et notamment les pays européens qui profitent de ces prix bas. Le pouvoir d'achat des consommateurs augmente mécaniquement, accompagnant le mouvement de reprise de l'économie. C'est d'ailleurs assez sensible en France, qui devrait atteindre les 1,1% de croissance en 2015.
Si on ajoute à ces tensions au sein de l'OPEP une lutte féroce pour gagner des parts de marché, la conséquence ne pouvait qu'être une nouvelle chute des cours. L'Arabie Saoudite a décidé d'ouvrir grand les vannes, quitte à ce que le prix du baril continue de s'effondrer. Et d'après le ministre saoudien du pétrole, le royaume ne compte pas s'arrêter en si bon chemin, même si le baril devait flirter avec les 20 $.
Tout cela est bon à prendre pour les clients de l'OPEP, et notamment les pays européens qui profitent de ces prix bas. Le pouvoir d'achat des consommateurs augmente mécaniquement, accompagnant le mouvement de reprise de l'économie. C'est d'ailleurs assez sensible en France, qui devrait atteindre les 1,1% de croissance en 2015.