Un accord de principe conclu à Doha fin septembre devait donner le tempo : les pays producteurs de pétrole membres de l’Opep allaient réduire ou stabiliser leur production afin de faire remonter les prix. Mais les discussions qui ont suivi ont montré de profondes dissensions entre les pays.
L’Arabie saoudite, premier producteur de pétrole au monde, ne participera pas à une réunion lundi, qui doit pourtant préparer le sommet de Vienne du 30 novembre durant lequel l’accord doit être mis en place. Riyad exige que l’Opep s’entende sur le partage des efforts en vue de réduire la production. L’Iran explique de son côté vouloir retrouver le niveau de production (4 millions de barils) d’avant les sanctions internationales.
Quant à l’Irak, le pays a besoin des ressources financières du pétrole pour financer ses opérations militaires contre Daech sur son territoire. Ces désaccords sont de nature à baisser le cours du baril. Vendredi 25 novembre, le WTI fléchissait de 4% à 46,01 $ ; le Brent de la Mer du Nord cédait 3,5% à 47,13 $. Et dans les conditions actuelles, on voit mal comment un accord pourrait intervenir le 30 novembre.
L’Arabie saoudite, premier producteur de pétrole au monde, ne participera pas à une réunion lundi, qui doit pourtant préparer le sommet de Vienne du 30 novembre durant lequel l’accord doit être mis en place. Riyad exige que l’Opep s’entende sur le partage des efforts en vue de réduire la production. L’Iran explique de son côté vouloir retrouver le niveau de production (4 millions de barils) d’avant les sanctions internationales.
Quant à l’Irak, le pays a besoin des ressources financières du pétrole pour financer ses opérations militaires contre Daech sur son territoire. Ces désaccords sont de nature à baisser le cours du baril. Vendredi 25 novembre, le WTI fléchissait de 4% à 46,01 $ ; le Brent de la Mer du Nord cédait 3,5% à 47,13 $. Et dans les conditions actuelles, on voit mal comment un accord pourrait intervenir le 30 novembre.