Le groupe pharmaceutique prend néanmoins bien soin de préciser qu'aucune fermeture d'usines n'est prévue et que les effectifs liés à la recherche et au développement ne seront pas touchés. Sanofi indique également que ces départs seront « volontaires » et « entièrement financés » par l'entreprise. De quoi faire passer la pilule plus facilement…
C'est début octobre que les premiers départs seraient programmés. La filiale SWI (production pharmaceutique) serait particulièrement frappée, avec 400 postes supprimés d'après les syndicats. Globalement, la CFDT (principale organisation syndicale du groupe) juste « inacceptables » ces départs. Il faut dire que Sanofi est profitable, après avoir procédé à 4 700 suppressions de postes entre 2008 et 2015, uniquement en France.
De son côté, la direction préfère parler de la multiplication par cinq de ses coûts dans la R&D ces cinq prochaines années. De quoi assurer des emplois pour l'avenir, même s'il faut tailler dans les coûts dans l'immédiat.
C'est début octobre que les premiers départs seraient programmés. La filiale SWI (production pharmaceutique) serait particulièrement frappée, avec 400 postes supprimés d'après les syndicats. Globalement, la CFDT (principale organisation syndicale du groupe) juste « inacceptables » ces départs. Il faut dire que Sanofi est profitable, après avoir procédé à 4 700 suppressions de postes entre 2008 et 2015, uniquement en France.
De son côté, la direction préfère parler de la multiplication par cinq de ses coûts dans la R&D ces cinq prochaines années. De quoi assurer des emplois pour l'avenir, même s'il faut tailler dans les coûts dans l'immédiat.