En 2016, la Régie des transports parisiens a engrangé 5,4 milliards d’euros. C’est un million de moins que l’année précédente. Le résultat net s’établit à 171 millions d’euros ; là en revanche, c’est beaucoup moins bien qu’en 2015 pour laquelle la société présentait un résultat net de 437 millions. Comment expliquer ces baisses ? La RATP avance plusieurs raisons.
Il y a tout d’abord eu l’impact de la nouvelle rémunération du STIF, une rémunération qu’il a fallu absorber. Le groupe cite également la baisse conjoncturelle des marges de l'activité de bus touristiques, en raison de l’impact des attentats sur l'activité du secteur. Il y a aussi eu un plus grand effort de développement pour répondre aux « très importants appels d’offres » partout dans le monde. La RATP a une carte à jouer à l’international, mais cela demande un peu d’investissement.
Enfin, il a fallu augmenté les provisions en application des normes IFRS, ce qui a représenté 21 millions d’euros l’an dernier. Tout cela n’a pas empêché les investissements : la RATP a dépensé 1,78 milliard d’euros pour ses divers projets en Ile-de-France (travaux de prolongation des lignes 4, 11, 12, et 14, expérimentation de véhicules autonomes…). La société annonce un chiffre d’affaires de 7 milliards à l’horizon 2020 ; 30% de ces revenus seront générés par les filiales.
Il y a tout d’abord eu l’impact de la nouvelle rémunération du STIF, une rémunération qu’il a fallu absorber. Le groupe cite également la baisse conjoncturelle des marges de l'activité de bus touristiques, en raison de l’impact des attentats sur l'activité du secteur. Il y a aussi eu un plus grand effort de développement pour répondre aux « très importants appels d’offres » partout dans le monde. La RATP a une carte à jouer à l’international, mais cela demande un peu d’investissement.
Enfin, il a fallu augmenté les provisions en application des normes IFRS, ce qui a représenté 21 millions d’euros l’an dernier. Tout cela n’a pas empêché les investissements : la RATP a dépensé 1,78 milliard d’euros pour ses divers projets en Ile-de-France (travaux de prolongation des lignes 4, 11, 12, et 14, expérimentation de véhicules autonomes…). La société annonce un chiffre d’affaires de 7 milliards à l’horizon 2020 ; 30% de ces revenus seront générés par les filiales.